1ère randonnée à Moorea

Après une petite nuit de sommeil entre 18h et 7h du matin le lendemain matin, ça va mieux. Et c’est comme à la maison, les cocorico dès l’aube et le petit déjeuner organisé par nos hôtes à l’extérieur.


Maintenant nous sommes fin prêt, direction le belvédère de Opunohu à l’altitude extrème de 240 m.

Mais avant d’y arriver nous nous rendons avec notre bolide roumain (Dacia Sandero) mais comme vous pouvez le voir sur cette photo:

Fépabo!

(J’ai l’impression d’arriver dans le parc de Jurassic Park, pas forcément cette photo mais la topographie et la verdure)

Mais au moins nous serons au frais pour la randonnée. Oups j’oubliais les 2000% de taux d’humidité. On a sué pour douze. Mais c’était vraiment génial. 

Le belvédère de Opanohu:

Après une petite heure de radonnée dans la jungle, nous repartons pour une autre randonnée, la randonnée des 3 pinus. Une fois rendu à l’arrivée des 3 pinus, quelle ne fut pas ma surprise en tombant nez à nez dans ce lieu de type Jurassic Park, sur un terrrible Cocoricus Abandonnus!


Vraiment tout seul le petit gars… Mais je pense que le passage de touriste qui jette quelque chose, doit bien le contenté.

Par la même occasion, ce coq a foutu en l’air la tthèse  que je préparais sur l’intelligence des galinacés et leur survie dans un monde sauvage. Je ne les pensais pas capable de vivre comme cela. Bien que les prédateurs ne sont pas légions non plus, peut-être les serpents.

Suite à cette matinée de randonnée, un réconfort d’un bon miam miam s’imposait, et dans un petit snack bord de route, on a eu le droit à ça:

Pavé de saumon et brochette ananas et jus de fruits frais. Un véritable régal!


Fin de la première partie.

Jour d’arrivée à Moorea

Nous voici donc sur Moorea.

Avant d’arriver sur notre lieu d’hébergement. Nous faisons une petite étape au Tiki Village et allons voir la plage d’à côté, ça donne ce terrible endroit:

Âmes sensibles s’abstenir. 

Après notre arrivée au Fare Club, Louise nous présente nos chambres, et nous présente aussi l’accès à la plage, Alors dites-vous que si la photo dessus est assez violente, celle de la plage qui est accessible, c’est encore pire, pour preuve, je n’ai pas pris la photo de peur de faire fondre mon téléphone.
Quelques minutes après, nous allons au Tipanier et sa plage pour aller m’inscrire au club de plongée afin d’obtenir mon niveau 1 et d’aller voir un peu profondeurs abyssales des lagons de Polynésie. 
En marchant sur la plage, nous rencontrons un chien en plein stress:

Et après, je suis tombé en panne, pas de téléphone, ni autre appareil, c’est moi, 16h je n’étais plus capable de rien, je n’arrivais même plus à tenir debout, un dernière photo de paysage:

Et de retour au bungalow, je pensais mettre mon réveil pour 19h, histoire d’aller grignoter, mais pas possible. Quand le réveil a sonné, j’ai ouvert l’œil, Thibaut à côté n’était plus vraiment en forme, j’ai éteins le réveil et dodo jusqu’au lendemain matin…

A bientôt! 

15 703 km

Il s’agit de la petite distance qui sépare Paris de Papeete.

Ce que Thibaut et moi avons parcours dans les avions pendant presque 24h.
Vendredi soir départ de Paris Orly, nous sommes encore côté français, donc c’est assez basique pour les contrôles, passage par les bac, portail de détection et hop, l’affaire est traitée et nous pouvons embarqué, il y a juste le système de reconnaissance faciale qui ne m’à pas aimé j’ai dû changer de cabine pour passer. Après que Thibaut ait mangé son repars dans l’air d’embarquement, nous avons acheté des provisions. A cause de mon petit soucis avec les produits laitiers de meuhmeuh, j’ai dû inspecter les emballages des sandwiches.
Nous embarquons dans oiseau de fer FrenchBee. Après avoir trouvé nos places, le décollage s’effectue et je sers les fesses et les tympans pour que cela passe, et génial! Pas de douleurs, soulagement! 
Quelque chose de très fun dans l’avion, la caméra est extérieure, j’ai adoré, je l’ai laissée allumée tout le long du voyage.

Après 10h30 de voyage, nous voici arrivé vers 21h heure local à San Francisco. Donc la nuit, on ne voit pas grand chose, et surtout, il faut faire vite pour le transfert. Car nos amis étasuniens ont quelques positions stricts à propos de la sécurité. Il faut donc récupérer le bagage en soute. Aller à la sécurité, et là c’est moderne passeport dans la machine, questionnaire, prise des empreintes, photo de vérification, mais petit détail, il faut refaire la même procédure, mais avec un agent de sécurité. J’ai eu de la chance, il était souriant et agréable, mais il m’a quand même posé des questions sur ma vie professionnelle, comment fonctionne mon entreprise, qu’est-ce que je propose comme services etc.
Après, encore un autre contrôle, celui du bagage à main et là! C’est le drame, on met mon bagage de côté, je dois attendre sur le côté pour être interrogé sur le contenu de ma valise, qu’avais-je fais de dangereux? J’ai pris un bouteille d’1L d’eau et des paquets de biscuits. L’agent a bien fait le tour des paquets de biscuits, m’a demandé si je voulais sortir pour boire la bouteille avant confiscation, ce que j’ai refusé et me laisser tout de même mes paquets de biscuits et ressortir. 
J’ai donc rachété une bouteille d’evian d’1L au Duty Free, et dans Duty Free, il y a Duty, pas Free du tout! 6,63$ la bouteille!

Avec tout cela, nous sommes arrivé à temps pour reprendre l’avion, direction Papeete. 7h45 de vol qui se sont passé sans encombre très difficile de dormir voir impossible, donc assez fatigué, mais même en arrivant à 4h40 du matin, voir enfin cela:

Waaaa, ça fait du bien! 

Petit contrôle douanier, récupération de bagages et enfin nous sortons. Mais à 5h du matin, pas grand chose d’ouvert, si, le service de change monaitaire et e café, parfait pour attendre la location de voiture. Nous avons fait la rencontre de Marie et Florent jeunes mariés en voyage de noces avec qui nous nous sommes un peu promené et pris un café.
En sortant, stupéfaction, je tombe sur cette bête là qui ne m’est pas inconnue au milieu du parking.

En fait, il y en a de partout, partout, c’est fou! Et pour la grand majorité des coqs. Mais c’est marrant. 

Nous avons donc pris notre voiture de location, pour aller jusqu’au ferry. Arrivé là-bas avec pas mal d’avance, nous avon décidé d’aller faire un tour dans le centre de Papeete pour aller voir le fameux marché sous les halls. Et en arrivant voici le spectacle:

C’est beau, c’est fleuri, c’est coloré, ça sent bon les fruits et la bouffe muahuahuahua! Pour pour le petit déjeuner, nous nous sommes pris des morceaux de porcs cuient sur place et découpés en petits morceaux, des petites bananes plantins et du « firifiri » c’est comme un bretzel mais fait au lait de coco, huuuuum.

Avant d’embarquer sur le ferry, quel ne fut point ma surprise quand au milieu de toutes les voitures en attentes Robert passe devant ma voiture! Robert, le monsieur avec qui j’ai beaucoup échangé par mails pour préparer le voyage et que malheureusement je ne devais pas voir car nos horaires étaient décallés entre Moorea et Papeete, mais un peu chance nous a permis de nous voir.
Une photo du ferry en arrivant à Moorea:

Et nous voici arrivé sur notre première île, Moorea. Nous avons roulé pendant une petite demi-heure pour arriver chez Louise au Fare Club pour notre location et enfin poser les valises!

Ca fait du bien et dans un prochain article, le résumé de la suite de cette journée.
A bientôt!

20h de vol pour…

… ça:

Cela n’en valait pas la peine n’est-ce pas?

Nous voici donc arrivé à Moorea dans notre bungalow. Thibaut et moi commençons à digérer le décalage horaire, c’est dur, mais c’est un moindre mal.
Dans un prochain article, je vous expliquerai le voyage, les joies des aéroports, de services de sécurité, la fouille des bagages etc. Mais dans l’ensemble cela s’est bien déroulé.
Et bon anniversaire Thibaut! Grâce au décalage horaire  d’un voyage en avion, j’ai pu lui souhaiter 3 fois! 
Nous nous rendons à la plage pour essayer de tenir jusqu’à ce soir. Pour gros dodo.
A bientôt!

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