Suite et fin et pas fini!

Cela fait deux jours que nous sommes revenus, le temps d’un peu émerger, d’où cet article tardif.

Je m’en étais arrêté où?! Attendez je me remémore tout ce que Alain Ragnar Heimana à pu faire, bah finalement pas grand chose car nous étions tellement fatigués.

Après avoir passé les contrôles américains avec une facilité déconcertante, nous avons même rigolé avec les inspecteurs en charges des inspections des bagages, c’est dire comme tout le monde était détendu malgré la situation.

Nous avons bu un café avant d’embarqué, il était comme dire? Est-ce qu’il y a pire que infecte? On avait l’impression de boire de la terre. Et Marco lui a demandé un thé, il s’est retrouvé avec un smoothie qui ressemblait à de l’herbe mâchée par les vaches.

Puis est arrivé le vol San Francisco, peu de monde dans l’avion, presque tout le monde à pu dormir allongé. Donc en prenant des rangées de 4 ou 3 sièges.

Nous avions un moniteur de vol et dommage nous n’avons pas fait d’arrêt « technique » sur la ville américaine surlignée… Surtout que nous étions sur un avion de la compagnie AER Lingus. Je ne plaisante pas, c’est vraiment son nom!

J’ai eu beaucoup de mal à dormir. J’ai donc pu voir un peu des films. Il fallait passer 8h de vol, ce qui est assez important de savoir, c’est qu’à l’origine le vol est de 10h30, gagner 2h30 sur un vol de cette distance, cela fait plaisir.

Comme vous pouvez le voir, l’aéroport de Dublin est vide…

Arrivée à Dublin, aéroport vide, même pas pu prendre une Guiness, horreur, malheur, être en Irlande et même pas profité des spécialités locales.

Après 1h30 d’attente nous embarquons en direction de la Gaulle. Roissy CDG, non pas Claude Del Grande, Charles De Gaulle, un gars moins connu, enfin surtout connu pendant une petite guerre qui a eu lieue il y a quelques années.

Encore plus impressionnant Roissy vide…

Nous atterissons enfin sur le sol français après un frisson dans l’avion quand une passagère a appelé les hotesse se plaignant de mal de tête. Qui finalement s’est révélé n’être qu’un mal de tête, après presque 30h de voyage, c’est un peu normal.

Alors là, ça va être compliqué d’expliquer, mais la plus grosse étape nous attendait alors que nous étions arrivé en France. Comment se rendre à Entraigues dans un délais raisonnable?

Nous avions un avion prévu le dimanche (alors que nous arrivions le samedi) à 13h30 pour Marignane, mais à Marignane, plus de correspondance pour Avignon avant le lendemain 13h et encore TER imprévisible et de surcroit, nous arrivons le jour suivant la fermeture quasiment totale d’Avignon TGV, donc pour le TER vers Entraigues, encore moins sûr. Imaginez un peu, deux jours supplémentaires dans les transits à trouver les hôtels et les transports. Impensable. Nous avons donc décider avec courage de louer une voiture. Et là, grand coup de chance. J’avais un peu visité avant les sites des loueurs et aucun n’acceptais le retour en agence différent ou alors avec des prix faramineux. Ce qui m’a particulièrement dégoûté c’est la politique des loueurs d’augmenter les prix et réduire les forfaits kilométriques. J’avais sélectionné en priorité le loueur National. Je ne connaissais pas du tout, et bien sachez que c’est formidable et raisonnable. Personne dans leur file d’attente, toutes les autres agences étaient prises d’assaut alors que les comptoirs sont les uns à côté des autres dans la même salle. Pendant que Alain Ragnar Heimana réglait, je discutais avec une jeune femme dans la file d’à côté qui avait l’air dépité. Elle et son mari devait aller à Toulon, ils ont versés un acompte sur une facture de 600€ à cause du forfait kilométrique. Je lui ai dit de vite venir ici car National n’a pas de limite de kilomètres, ce qui nous à permis d’avoir:

C3 Aircross

Bonne petite C3 Aircross essance boite automatique. Nous avons été surclassé gratuitement, elle n’avait que 10 000kms, et surtout CarPlay, j’ai pu brancher mon iPhone et tout avoir sur l’écran! Merci encore National

Nous avons pris la route direction le grand sud. Et donc sur les 724 kms, nous avons dû croiser en tout et pour tout, une cinquantaine de voitures. Plus de camions qui eux travaillaient. C’est vraiment une impression étrange de traverser tout le pays presque seuls. Du coup quand je conduisais (nous avons fait des relais de 1h) pour moi, l’autoroute n’était qu’à une voie, je prenais la corde quelque soit la longueur du virage. Le pied! Les aires d’autoroutes totalement vides. Uniquement les gens à la caisse.

Vers 1h20 du matin nous arrivons à Entraigues. Faisons le plein d’essence et rentrons. Pas nous coucher car difficile avec le décalage horaire, mais le sommeil par la fatigue arrive.

Ce qui a été le plus choquant, c’est qu’entre la porte du Fare Club de Moorea et le portail de ma maison, il y a après calcul, 16 418,57 kms. Et dites vous bien que durant c’est presque 40 heures de voyage en plein dans la crise du Covid19, nous n’avons jamais été contrôlé, même pas la température. Hallucinant.

Même le lendemain matin pour aller rendre la voiture à la Gare TGV d’Avignon totalement déserte, personne pour contrôler, tout le monde est déjà mort du virus?

C’est ainsi que ce termine ce mois de changement de planète. Cela fini un peu raté. Mais qu’est-ce donc à côté de ce mois de rêve à Moorea, cela aura rarement été aussi agréable. Un mois à rire, être heureux et partager de moment unique. Particulièrement celui où nous nous sommes retrouvés au milieu du lagon de Moorea seuls. Magique et certainement impossible à revivre de toute notre vie.

Attends Fredo, on va faire un selfie, je cherche comment on fait… Nooooon Alain pas là…
Bah voilà!

Un Grand Merci à Alain Ragnar Heimana de m’avoir suivi dans cette aventure et d’y avoir pleinement participé avec ses talents naturelles que vous avez pu constater à travers les articles quotidiens. Sa bonne humeur permanente, l’humour, l’envie de découvrir. Un vrai plaisir. D’ailleurs, plusieurs fois il a laissé échappé qu’il reviendrait bien, et surtout, il l’a promis à Louise et Francis, qu’il reviendrait! Promesse faite, comme le choux farci!

Un plus qu’énorme merci à Miréta et Lazare pour leur bienveillance, gentillesse et franchement tous les bons sentiments que l’on ressent à côté d’eux, avoir été à la pêche avec eux, les savoirs toujours présent. Un bonheur.

Toute la famille du Garnier, Louise & Francis pour nous avoir accueillis les bras ouverts, nous avoir fa’amu (adopté en polynésien), se sentir grâce à eux, comme à la maison. Nous avoir fait vivre des expériences géniales, des surprises, des sourires en permanences. De la bonne humeur. Être vraiment parmi eux au sens le plus vrai qu’il existe. Ainsi qu’à Tama et ses folies et imprévisibles envies, qui nous a permis de vivre le moment magique du lagon de Moorea seuls et la soirée hors du temps sur le motu.

Et aussi un merci particulier à Téhani, la fille de Louise et Francis. Nous avons pu rencontrer Téhani et si nous l’avions pas rencontré, je peux dire que les vacances n’auraient pas été aussi réussies. Cette merveilleuse jeune femme, qui nous a tellement aidée. Avec laquelle nous avons tellement pu rire. Avec sa prévenance qui nous a permis d’éviter tellement d’écueils avec les avions. L’impression d’avoir une nouvelle grande sœur! 😛

Et pour finir, par le meilleur de tous, Kiko! Qui nous a constamment protégé du Covid19

Retour à la réalité, ou tu du moins une autre version de la réalité. Mais il manque 20° ici, c’est quoi ça?!

BONUS: La dernière de Heimana. Je lui donne un boite d’œufs durs, il prend la boite, la pose, ouvre une boite d’œufs et casse un œuf et me dit: « Mais ils ne sont pas durs » « Alain… C’est marqué sur la boite que je t’ai donné DURS, tu as pris la boite à côté de celle que je t’ai donné et que tu as posé… »

SFO l’aéroport qu’il est bo

Deuxième partie de la journée à San Francisco et quelle partie! Alors que nous pensions nous ennuyer ferme pendant 10h, il en a été tout autrement quand nous avons engagé la conversation avec Loïc autour d’une légère bière et un club sandwich.

Nous étions comment dire, bourré, oui, complet. La bière à 10% et la quantité et le prix! 44$ les 3 bières, 66$ les 3 clubs sandwichs et le hot dog quand Macro jeune marin nous a rejoint.

Puis vint l’heure de l’enregistrement. A l’accueil j’ai demandé avec mon excellent anglais, si nous pouvions être surclassé gratuitement car il est évident que le vol serait loin d’être plein. Réponse: 350$ pour le surclassement. No thanks…

Les contrôles se sont de nouveau fait dans la joie et la bonne humeur et complicité des douaniers étonnamment. Et surtout un aéroport presque vide, aucune attente!

Après un infâme café il est temps de monter dans l’avion direction Dublin avec un voyage de 10h…

Petit bonus, certains font très attention avec l’équipement contre le Covid19

A demain pour de nouvelles aventures!

If you’re going to San Francisco

Be sure to wear pull-over, some flowers and ESTA in your hair!

Et voilà, première étape du voyage retour. Fin d’après-midi avec Alain Ragnar Heimana, nous nous rendons à l’aéroport, pour voir une dernière fois Téhani qui nous a donné des attestations, du gel, des masques et des gants merci encore Téhani!

Puis 3h d’attente avant de monter dans l’avion, même pas à moitié plein. Du coup beaucoup de gens ont pu s’allonger. Et aussi, qui dit United Airlines, dit climatisation à -12° ! Un froid de coincoin!

Comme d’habitude, je n’ai pas pu dormir. Donc enchaîné les films.

Et ça été l’occasion d’un rencard que je n’aurai jamais pu espérer. J’ai mangé en tête à tête avec Margot Robbie! Et ouais! La classe non? Vous ne me croyez pas. La preuve:

Alors?!

Nous sommes donc actuellement à l’aéroport de San Francisco. Après avoir passé en un temps record les contrôles. D’habitude, c’est presque 1h30, là, en 15 minutes, tout est réglé.

C’est l’heure de patienter maintenant. Un autre article plus tard.

Rappel

Comme tous les grands artistes, nous sommes sur scène, mais nous revenons!

Donc 3h du matin, nous n’étions qu’une dizaine dans la file d’attente. Nous conversons avec nos voisins de galère aéronautique.

4h30, nous sommes plus d’une centaine et commence le grand n’importe quoi. Organisation proche de zéro. Il s’agit quand même de la troisième fois depuis une semaine que la situation se présente et ils ne sont toujours pas capable d’organiser les files d’attentes. Ils mélangent les naufragés de FrenchBee avec les client Air France, puis demande au dernier moment de séparer sans mettre de barrière. Font passer quelques FrenchBee alors qu’ils ne devaient pas. Puis nous renvois de l’autre côté du hall, heureusement qu’il n’y en a qu’un et petit.

Et là c’est le drame. Alors que tout le monde va chercher des cafés, part revient, etc. Je propose à Alain d’aller faire du change. Et c’est donc à ce moment là que la file d’attente est invité à se présenter au comptoir. Formidable! De dixième, nous sommes les derniers…

Pour que vers 7h nous apprenons que nous n’embarquerions pas. Sans motif. Et là débute une longue attente pour remplir formulaire de contact. A savoir qu’il n’y avait qu’une seule personne qui s’occupait de TOUT, vraiment TOUT et tout le monde, là aussi, aberrant. Nos passons donc les derniers et elle nous dit: « Ah vous au moins vous gardez le sourire » . De toute façon que faire d’autre… Ce qui nous enlèvera le sourire c’est quand elle nous annonce, qu’il n’y a tout simplement plus de solution et que venir vendredi matin pour le dernier vol ne servirai à rien.

Mais nous décidons de retourner vite à l’hôtel récupérer la chambre. Et allons faire quelques courses pour attendre.

Dans l’après-midi, nous recevons un mail nous demandant nos dates de naissance (déjà indiqué sur le formulaire) et la validité de notre ESTA. Pour départ urgent le Jeudi soir avec United Airlines.

Et le programme sera fou! Départ à Jeudi 21h40 de Papeete, puis arrivée à San Francisco pour 10h d’attente et après nous sommes pris en charge par AER Lingus, compagnie irlandaise au nom plus que douteux. Pour faire le voyage vers Paris avec escale à Dublin. Arrivée à 16h20 Dimanche Ca va être bon!

Voici où nous en sommes. Demain nouvelle journée d’attente pour peut-être arriver à partir.

Fait rarissime, j’ai perdu mon iPhone pendant quelques minutes. Retrouvé à l’accueil de l’hôtel, léger moment de stress.

Pas grand chose à dire d’autre.

A demain pour je ne sais quelles aventures!

Clap de fin

Nous y sommes… Le dernier jours à Moorea et le chemin du retour et toujours cette impression de « non, pas maintenant, encore un peu ». La petit tour dans le lagon. Le petit déjeuner tous ensemble. Les firifiri livrés à domicile tous chauds.

Dans l’empressement des derniers instants nous avons fait quelques améliorations technologiques du Fare Club, transformer une petite TV en TV connectée, quelques photos 360.

Il est 15h, l’heure de partir pour Tahiti, embrassade avec Miréta, Lazarre et Tama. Louise et Francis nous accompagnent jusqu’au ferry. Nous prenons la route et quelques instant plus tard le téléphone sonne, Tama qui appelle et qui dit: « Il y a un iPad branché, il est à qui? »

ALAIIIIIIIIIIIIIN! IL A FALLU QUE TU OUBLIES QUELQUE CHOSE!!!

Reste calme Fred me répond-t-il. Soit zen, respire.

Demi-tour, retour au Fare Club pour l’iPad.

Heureusement que nous avions de la marge pour le ferry. Le ferry d’ailleurs sans problème, sans contrôles, très peu occupé, majorité de touristes dans le même cas que nous.

A Tahiti, Tehani a eu la gentilesse de venir nous chercher et nous amener à l’hôtel en face de l’aéroport, elle-même travaillant à l’aéroport, elle nous a rassuré sur le nombre de personnes qui attendent.

Nous voici donc dans la chambre d’hôtel, je m’occupe avec des vidéos youtube, car je retrouve enfin un bon débit Internet. Et Alain regarde la richesse du programme télévisuel…

Le repas du soir fut beaucoup moins festif que les autres soirs… Pas la photo de prête car mes appareils rattrapent tout le retard, mais simplement imaginez des wraps avec jambon, mayonnaise, salade, tomates, cornichons… Et un oeuf dur. Mais! Avec une petite dose de punch royal avec fruits de la passion frais et citron lime pressé. Pour atténuer la douleur…

Il est l’heure d’aller faire le dodo, car demain matin, réveil à 2h pour la file d’attente à l’aéroport et réussir à choper deux places. Mais nous sommes confiants car sur des listes d’attentes. Pas comme beaucoup d’autres. Mauruuru matei Téhani d’avoir pu contacter une responsable de FrenchBee en direct, tu nous a grandement aidé!

A demain matin de bonheur ici pour de nouvelles aventures!

Gangsta’s Paradise

Pour notre dernière journée complète à Moorea, nous avons fait les vrais racailles et tout et tout! Imaginez Alain Ragnar Heimana avec la casquette de travers et le gros collier en or! Entre le matin aller à la pêche sur une grande plage et pêcher enfin mon premier vrai gros poisson. Puis avec Tama nous avons pris le petit bateau pour aller sur le motu de Heidi manger un firifiri avec un jus de fruits qui avait un drôle d’arrière goût. Allez savoir… Enfin donc, pas trop de confinement en bungalows.

Puis de là, nous sommes allés au milieu du lagon. Personne, strictement personne à part nous. D’habitude il y a une multitude de touristes, mais là, le calme, la tranquillité, un vrai bonheur de pouvoir plonger seuls.

Nous sommes retournés au Fare Club, et après petite pause, direction la plage de nouveau pour pêcher, mais là en revanche, ce ne fut pas fructueux, j’ai abandonné au bout d’une heure sans prise.

Ce soir au menu, poisson, pas celui que j’ai pêché sinon, nous aurions très très peu mangé. à sept dessus cela aurait créer quelques tensions!

A la télé, un reportage sur Polynésie Première, le titre, cannibale et vahinés, qui traite de la vision réductrice des occidentaux quand ils ont découvert la Polynésie et la Nouvelle Calédonie en exportant une image de sauvages et de belles jeunes femmes qui servent de fantasmes. Puis dans le reportage ils parlent de Teva Sylvain, un photographe spécialisé, oui, vous devez le connaitre, il est spécialisé dans les photos de dames pas frileuses, en remarque en Polynésie… Les calendriers typiques vendus, ou le petits souvenirs, assiettes, verres etc.

Et donc au fur est à mesure de la présentation, il montre le petit bateau qui emmène ces jeunes modèles à travers, Moorea, on commence tous à regarder, il passe devant la plage des Tipaniers, il avance, il avance et là, il s’arrête. Il s’arrête sur la plage du motu d’Heidi, celui-là même où nous étions ce matin. Mais pourquoi, nous ne sommes pas là quand elle viennent?! Pourquoi! C’est artistique, c’est tout!

Pour la petite histoire, toutes ces jeunes ne sont pas tahitiennes, elles viennent d’Indonésie, il est peu probable qu’une polynésienne fasse des photos de nues, car trop de monde se connait en Polynésie, trop de timidité et de honte.

Je ne peux pas envoyer de photos encore, car la connexion Internet est prise… Et on ne peut pas faire plusieurs choses à la fois avec cette connexion.

Demain, jour de départ de Moorea. Et l’aventure du retour. Qui s’annonce fabuleuse.

A bientôt pour de nouvelles aventures!

Calme et organisation

Vu que nous sommes en confinement, peu de mouvements. Le matin, le passage par la petite boutique qui accepte que deux personnes à la fois. Le calme qui règne à Moorea est assez impressionnant, déjà que c’est calme par nature, mais là… Encore mieux.

En fin de journée, un bon moment, puisque avec Miréta et Lazare nous sommes allés à la pêche. Lancer de ligne avec du oma, c’est un vif. J’ai pêché un seul poisson, heureusement que l’on ne compte pas sur moi pour le repas… Et aussi, heureusement que Miréta et Lazare en on pêchés plus. Pour demain matin le petit déjeuner! J’ai de bien belles photos de coucher de soleil, mais pas encore arrivées avec le gros tuyau d’internet local… Ce sera une mise à jour demain.

Dans nos aventures du retour. Maintenant que nous avons la convocation pour mercredi matin à partir de 5h20. Nous sommes arrivés à réserver une chambre dans le motel juste en face, ouvert 24/7, ce qui nous permettra de nous reposer un peu avant le grand désordre du lendemain matin à partir de 3h du matin.

Je n’ai vraiment pas hâte d’y être. Mais que voulez-vous… Il faut bien faire le retour.

Nous continuons d’organiser notre retour dès demain. Donc à demain pour de nouvelles aventures!

Oui, non, oui, non…

Comme prévu, de l’attente aujourd’hui, de l’attente.

Téhani avait dès le matin arrangé avec la directrice commerciale de FrenchBee pour obtenir des places sur le vol Air France, mais le mail de confirmation a mis beaucoup, beaucoup de temps à arrivé, il est arrivé à 19h11 heure locale, déjà trop tard, nous avions annulé notre traversée, faute de nouvelles et de place assurée dans l’avion.

Car aller à l’aéroport, c’est premiers arrivés, premiers servis. Et vu que nous venons de Moorea, nous arrivons les derniers. Si il n’y a plus de places, nous sommes bon pour le confinement en appartement à Papeete, au lieu de rester au Fare Club. Impensable!

Donc nouvelle tentative mercredi.

Nous avions quand même pris le temps d’un dernier barbecue sur la plage.

Puis le soir repas en famille.

Aller cela reste quand même une journée de confinement à Moorea. Je pense qu’il y a pire.

A bientôt pour de nouvelles aventures

Dernière ballade autorisée

Et oui, ce matin, la petite excursion à pied était la dernière autorisée. Car quelques minutes plus tard, le Haut-Commissaire de Polynésie annonçait un confinement plus drastique. Plus le droit d’aller à la plage, les magasins fermés sauf pour alimentaire, pharmacie et banque.

Nous avons fait quelques courses et nous sommes rentrés.

En cherchant sur FrenchBee, j’ai vu que notre voyage retour était annulé. Mais très difficile de les joindre, à tel point que j’ai épuisé tout mon crédit de ma carte polynésienne rien qu’en attente et au moment d’utiliser le téléphone de Louise, c’était trop tard, standard téléphonique fermé.

Donc demain à partir de 8h du matin, cela va être le but de la journée, malgré que ce soit un samedi. De savoir comment se passera le retour, si c’est par FrenchBee ou même une autre compagnie. Il y a même des infos qui nous sont arrivées comme quoi le voyage de retour se ferait par Tokyo, nouvelle qui m’a rendu joyeux à l’inverse d’Alain beaucoup moins enclin à découvrir le pays du soleil levant, bien que dans les circonstances, le Japon, nous n’en verrions pas grand chose.

J’édite mon article car j’ai oublié de vous dire qu’il s’agit de l’équinoxe de printemps, du coup, la mer est déchaînée même dans le lagon, spectacle impressionnant de voir les vagues frappées la digue et tremper Alain Ragnar Heimana qui était là pour admirer. Au loin, le long du récit des bonnes grosses vagues en rouleaux qui déferlent. Et ajouté à cela les éclairs au loin dans les masses nuageuses. Merci la nature pour ce beau spectacle.

A demain pour de nouvelles aventures téléphoniques!

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