Les autres premiers jours

Public en délire, tu t’inquiètes de ne pas me voir conter mes histoires. Je vais donc rattraper ce retard en exprimant de manière simple les trois jours qui ont suivis, des listes.

Au magasin d’informatique du coin:

  • Achat d’un disque dur SSD
  • Achat boitier externe 2,5″
  • Clé USB 64Go

Au magasin de bricolage du coin:

  • Achat prise murale RJ45
  • Achat câble RJ45 5 mètres, quantité: 2

De retour au Fare Club.

  • Création clé USB d’installation de Windows 10 Pro x64
  • Démontage disque dur pour remplacement par SSD
  • Installation de Windows 10 Pro
  • Configuration du poste
  • Configurations des logiciels

Autre jour:

  • Configuration nouveau PC
  • Configurations logiciels

Voilà! C’était chouette non?! Cela vous a plu?

Effectivement, après une première journée au FareClub où nous avons discuter tout le long, les autres jours étaient dédiés à faire plaisir à nos amis et leurs demandes d’informatiques, réparations et mises à jours matériel. Ayant le bonheur d’être nourris, logés, il est normal et plaisant de leur rendre service.

Après, il y a quand même eu une première sortie agréable, la montagne magique, en compagnie de Dominique qui nous a donnée rendez-vous au pied de la montagne.

Après une petite demi-heure de montée, la récompense.

Même si ce n’est pas la première fois, ça fait toujours plaisir à voir.

Descente et petite pause fraiche avec enfin la première eau de coco dans son verre bio:

Et là normalement vous vous demandez ce qu’il y a dans l’assiette, « j’vais vous le dire ».

Petit assortiment banane, pomme étoilée, pamplemousse, mange et ce petit pétale de fleur qui répond au doux nom de… Clitoria.

« Pardon Madame, je n’ai pas bien entendu? »

« Si si, ça s’appelle clitoria »

« Ah bon? Et le fruit vagina il est où? »

Et encore j’ai appris par la suite qu’ils ont aussi comme plante, le pandanus.

Voilà, voilà voilà… On a fait le tour si je puis dire.

Tama vient nous récupérer en voiture pour nous ramener et nous dit:

« Au fait les gars, vous savez qui est sur la plage du FareClub? »

« Bah non? »

« Vaima est là? »

« C’est qui Vaima? »

« Bah c’est Miss France! Du coup je vous amène directement au resto ou vous voulez faire un tour par le FareClub »

« Bah JUSTEMENT ça tombe bien, faut que je passe au FareClub pour changer mes affaires et puis tant qu’on y est, bah on ira faire un petit tour à la plage 😀 « 

Et effectivement, nous avons croisé Vaimalama… Dans sa voiture… En train de partir… Mais pourquoiiiiii??? 5 minutes de plus aller! Pour ceux qui ne me crois pas, allez sur son compte instagram ou facebook, il y a la photo d’elle sur la balançoire avec un ukulélé, c’est là, Fareclub de Moorea.

Après cette grande déception dans la vie, une seule solution, aller manger! Donc direction chez Fred, non pas chez moi, mais l’autre Fred pour le bon miam miam dont voici l’illustration.

Mi cuit de ha’urā (espadon) avec ses frites de huru

Servi avec un jus de fruit frais fait maison, que c’était bon!

Après cela, Dominique repart chez elle et nous, retour au camp de base et entre série, reportages et sieste, la journée s’est passée. A partir du soir la pluie s’est mise à tomber et c’est au moment où j’écris ces lignes que ça s’est calmé. Dire que dans le sud de la France nous en manquons!

Sinon, trois points négatifs à aborder, et oui…

Les moustiques débordent d’énergies, je n’ai pas souvenir que les fois d’avant il y en ait autant et agressifs, même un drap, ils piquent à travers, « craint dégun ».

Le téléfilm sur la Reine Pomare IV que tout le monde attendait avec impatiente. Et bien, c’était très mauvais. Cela ressemblait à un clip vidéo fait avec un iPhone sans être retravaillé. De plus l’histoire, c’est surtout ses histoires d’amours parsemées de l’Histoire de la Polynésie. Pour au bout de deux heures d’ennuis cinématographique, cela s’arrête sur la Reine et le gouverneur français en train de regarder les plans de la future ville Papeete. Oh! Cinquante ans de règne la Dame et on s’arrête là? Avec le battage médiatique avant, les entrevus d’acteurs et la descendante de la Reine qui dit qu’elle est tellement heureuse de ce film. C’est vraiment dommage… Ce n’est pas rendez hommage à l’Histoire.

Et dernier point et non des moindres, la multiplication des délits. Le fléau ce propage à vitesse grand V et c’est tellement dommage. Tous les jours il y a un cambriolage, dans les parages. Dire qu’il y a à peine deux ans, cela n’existait quasiment pas. Depuis quelques semaines, c’est en permanence, jour et nuit. Quelle tristesse…

Bon aller, il y a tellement de belles choses autour. Nous continuons à profiter.

A bientôt

Première journée, MANGER!

Nous voici donc en terre promise.

Et évidement premier réflexe en arrivant, aller au WC, aller au bureau de change pour avoir un max de tunes, aller prendre un café.

Nous prenons les cafés commandés et nous rencontrons, aussi descendue de l’avion, Dominique, une dame venue en vacances, je lui propose de prendre le café avec nous pour discuter et nous voilà finalement partis tous les trois, en partageant le taxi, direction le marché couvert de Tahiti.

Au marché couvert, l’objectif était simple: MANGER! Et je rêvais de retrouver le stand de porc braisé, cela peut paraitre bizarre étant à Tahiti, mais malheureusement, pas de stand en semaine, donc consolation, mon premier poisson cru au lait de coco.

Et ça fait du bien! À 7h du matin le poisson cru au lait de coco et bananes en dessert!

Une fois tout cela mangé, nous allons donc chez Vini, un opérateur téléphonique local pour avoir la carte sim de touriste et qui dit touriste, dit, payer beaucoup plus cher pour moins de service, cela a faire rire la vendeuse quand je lui ai demandé avec cette même phrase.

Nous allons déposer nos valises dans la location de Dominique afin de pouvoir plus aisément se mouvoir à Papeete. Pour comme second objectif de la journée, trouver un t-shirt blanc. Oui je suis capable de me trouver des défis impressionnant, car je dois aller faire les boutiques…

Mais évidement après tant d’effort, il fallait recharger le batterie en allant boire un grand smoothie au Maeva Café et dans la carte nous sélectionnons tous les trois le fat borner, et ce qui m’a beaucoup rassuré, c’est qu’il était précisé que c’était vegan, argument qui me touche personnellement !

Je ne me souviens plus de ce qu’il y avait dedans, au prochain passage à Tahiti j’irai prendre la photo, mais il y avait du céleri, du gingembre, et ça arrache grave! Même le serveur qui l’a préparé nous a dit qu’il l’a gouté et qu’il le trouvait bien fort.

Après cette petite pause, recherche de T-Shirt et bien sachez qu’un T-Shirt blanc en XXL en coton, sans inscription, sans marque ou autres décorations, c’est très très difficile à trouver. C’est après avoir visité facilement un dizaine de petits magasins et un intersport que je trouve enfin ce que je cherchais dans un petit magasin qui s’appelle chez Juju. Et c’est ce même petit magasin où j’avais trouvé mon bonheur il y a trois ans. Avec des serveuses adorables, sourires et professionnalisme. Cela devient tellement rare pour être souligné.

Après encore un si gros effort qui nous a obligé à avoir parcouru 8,49 kms dans Papeete, il était midi et donc MANGER!

Retour au Maeva Café mais pas le même, où nous avons commandé la salade Maeva, composée de thon, tomates, concombres et sauce aigre douce. Bien sympa.

Sauf que nous sommes en vacances et le temps passe vite et le ferry pour Moorea arrive à 14h10, nous arrivons à temps. Nous montons et là, Alain et moi, fin de partie, dodo dans le bateau, les 36h passées commencent à être lourdes dans la balance. Surtout que une fois arrivés à 15h sur le port de Moorea, il fallait attendre jusqu’à 16h30 le bus. Encore attendre, mais, ne pas attendre tout seul, pendant que Alain partait faire une méditation tanscendantale allongée, j’ai rencontré Béatrice touriste espagnole qui cherchait les horaires de bus, je le lui donne et nous commençons à échanger quand mon téléphone sonna, Francis me demandait où nous étions, je lui réponds que nous sommes au port mais qu’il faut encore facilement 2h avant d’arriver au Fareclub et que nous sommes vraiment très fatigués. « J’arrive, je viens vous chercher » ouf… Nous avons même pu proposer à Béatrice et sa mère de profiter du transport de Francis pour les déposer à leur location.

Nous voici enfin au Fare Club et nous faisons connaissance des nouvelles personnes qui y travaillent donc notamment Harold, mon nouveau meilleur ami au monde, pourquoi? Ancien chef cuisto qui travaille maintenant au Fareclub. Il nous a préparé à manger une soupe au poulet avec nouilles, c’était simple, mais tellement bon après tant de temps.

Puis la fatigue étant tellement forte, nous sommes allés dormir, pour enfin une vraie nuit!

A bientôt!

Vers Tahiti

Ça y est c’est le Grand Jour, nous partons pour Moorea, enfin.

Accompagné d’Alain. Et qui dit Alain, dit… Je vous laisse le choix des adjectifs.

Pour vous aider à trouver un adjectif: Ma mère m’appelle alors que nous étions dans le train pour me dire que la carte d’identité, la carte vitale, mutuelle et permis de conduire d’Alain, eux, sont restés jonchés sur le sol dans le jardin. Bravo! On applaudit avec toutes les mains disponibles.

Les transports dans Paris se font facilement.

Les enregistrements à l’aéroport se passent sans soucis. Bien qu’à un moment, une belle hôtesse d’accueil nous dit « Bon voyage Messieurs Dames », nous nous retournons d’étonnement, elle se met à rire, du coup j’enchaîne: « Excusez-moi Monsieur! » et elle me répond: « Oui désolée! Si je n’avais pas mon costume, je vous aurais fait un gros câlin » « Si vous voulez je peux rester 😀 ». Ça commence fort bien!

Nous arrivons au scanner des bagages. Hop! Contrôle aléatoire. Et sur qui ça tombe le contrôle aléatoire pour savoir si il a de la poudre explosive sur ses appareils, Alain! Forcément! Encore un bon moment à rire avec le contrôleur ceci dit.

Arrivée dans la zone d’embarquement, c’est le moment de faire les achats biscuits pour le voyage. Et je ne savais pas, mais j’ai acheté des biscuits plaqués or, incrustés de diamants! Car pour 2 boites, 1 sachet d’amende + 2 bouteille d’eau, 18€50. La caissière a dû le lire sur mon visage et a commencé à me dire qu’elle n’y étais pour rien.

Nous attendons l’avion, et attendre c’est la principale activité d’un aéroport.

L’avion est là et quoi qu’il arrive on se pose la question, comment ça va se passer pour les 10h40 de trajet, mais finalement bien! Enchaînement de divers films, à tel point que j’ai même regardé des films français! Des comédies.

Nous arrivons à San Francisco, avec comme objectif principal, non pas traverser et prendre l’avion suivant mais! Acheter un iPhone 14 à moindre prix. Mais tout d’abord les contrôles et force est de constater que l’administration américaine se « détend du string » ! Car il y vraiment beaucoup moins de contrôle qu’avant, et ce qui prenait avant presque 1h30, sur les 2h de temps de correspondances, se fait tranquille en 30 minutes et avec de la chance car nous avions les files d’attentes qui étaient raccourcis juste à notre passage!

Deuxième partie de voyage, et là, ça été un peu plus difficile avec la fatigue et les 8h de voyage, mais enfin, enfin! La terre promise, 5h du matin, le soleil était encore au lit, mais nous posons le pied sur le tarmac de l’aéroport et à l’inverse de l’accueil américain, l’accueil tahitien:

Et après contrôle, juste mettre le tampon sur passeport, nous sortons de l’aéroport !

Victoire !

A bientôt pour la suite de la première journée

En continuant à utiliser le site, vous acceptez l’utilisation des cookies. Plus d’informations

Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.

Fermer