Dans l’aquarium et baptême

Qu’elle belle journée qu’aujourd’hui!

Alain a renoué des liens solides d’amitiés avec Kiko. Car Kiko s’est bien rendu compte qu’il avait provoqué une peine immense à Alain pour la chaussure. Il lui a donc ramener la chaussure, pas en direct, mais ramené, ce n’est pas une blague. Ils sont donc de nouveau amis, mais je se sais pas si ils ont échangés comme de coutume canine pour bien vérifier la véracité de leurs intentions avec le reniflage de derrière.

Première évènement de la journée, nous avons reçu notre baptême polynésien par le biais de nos nouveaux noms. Je suis donc Itématatini, l’homme qui cherche des solutions avec ses connaissances. Et Alain Ragnar sera donc connu sous le nom de Heimana, la couronne du savoir. Alors? On ne rigole plus maintenant.

Vers 9h, notre Super Robert intrépide vient nous chercher pour nous emmener au lagoonarium! Youpi! Le lagoonarium étant une petite île (motu) entourée de coraux qui regorgent de poissons. Je pensais que j’allais dans un piège à touristes, mais pas du tout. Très très agréable.

Nous arrivons donc sur le motu du lagoonarium, un vrai belle endroit comme sur les cartes postales, le jeune à l’accueil est vraiment sympa, vu que nous étions que trois (animateur compris) à être francophone, nous nous sommes bien marrés avec tous les américains qui ne comprenais rien.

J’ai eu un grand moment de frisson, non pas par la température, car c’est difficile d’attrapé froid, mais au moment où j’ai décidé de plonger l’iPhone dans l’eau tout nu! Et donc oui, l’iPhone 11 Pro fait des vidéos de belles qualités, aquatiques et surtout étanche!

Après un premier petit tour du lagoonarium, Alain était assis sur un petit banc et quand j’arrive auprès de lui me dit: « Fred, tu ne vas pas m’engueuler? Aller promis? » « Qu’est-ce que tu as fait? » « Bah, j’ai perdu une chaussure est elle est tombée dans un endroit trop profond pour que j’y aille » « Décidément après la basket avec Kiko et maintenant la watershoes, problème avec les chaussures, il faut réfléchir à cela ;D « 

Nous avons assister au « feeding », que j’ai traduis auprès de l’animateur: « C’est à qu’elle heure le manging? » Petit instant marrant quand je me relève je les vois tous accrochés en rang à la corde et que le petit requin passe au milieu sans que personne ne s’en aperçois.

Puis nous avons mangé nos casses-croûte, pris le temps, Heimana a tout de suite saisi l’opportunité de faire une sieste dans l’un des petit bungalow proposé à l’arrivée. Et lors de la présentation, j’ai demandé à l’animateur, quand est-ce que les jeunes femmes arrivaient pour les massages. Plus tard m’a-t-il répondu.

Et donc plus tard que voit-on arrivé, une jeune américaine, très intelligente. Et donc non francophone, j’en profite pour demandé à l’animateur, si justement c’était elle qui était prévue. Petit éclat de rire de sa part. Et je narrerai une autre anecdote marrante à mon retour en métropole à son sujet.

Puis vers 15h, nous demandons à rentrer sur l’île. Une fois sur place, commença l’interminable (impowable en tahitien) attente du bus. 1h45 pour venir! A tel point que l’animateur nous a dit que si il avait pu, il nous aurait ramené chez nous car nous voir attendre si longtemps.

Nous voici donc de retour au Fare Club après un court passage par la pharmacie, car comme dire… Le rouge vif brûlant, que ce soit à Alain Ragnar Heimana ou moi, cela ne nous va pas forcément bien.

J’ai donc fait des vidéos de quelques minutes au début, trop volumineux en espace pour être envoyé du Fare Club, cela sera pour le retour.

Très très belle journée, où nous avons découvert encore un bel endroit de Moorea. Bonne ambiance, rires, joie. Beaucoup de choses qui je crois manquent un peu en ce moment en métropole. Nous avons beaucoup de chance d’être là.

Aller, à demain pour de nouvelles aventures.

Désert

Rien de bien spécial aussi, si ce n’est que peut-être les premiers effets des confinements des différents pays se fait ressentir sur le Fare Club, puisque ce soir mis à part Alain Ragnar et moi, il n’y a aucun autre client au Fare Club, Louise m’a dit se sentir perdue dans ce vide.

Ce midi au snack, à l’heure du sud. Lame de thon au frite de Uru. avec pour le mélange des saveurs, lentilles, bananes, crudités et fruit de la passion. Étonnant et bon!

INSTANT #METOO

Trois jeunes femelles humaines d’origines californiennes étaient clientes du Fare Club jusqu’à cet après-midi. Parmi ces trois spécimens, une très intelligente! Ayant été à table avec l’une d’entre elles, peu de conversation possible, mais le plus marrant arrive.

En début d’après-midi, j’ai pris habitude de prendre mon téléphone et regarder mes épisodes de séries en bord de plage.

En revenant du snack, j’entre-aperçois dans l’embrasure de la porte, les californiennes en train de s’habiller de manière très fleurie et locale.

En passant par la cuisine voir la famille Garnier et leur indiquer que j’allais à la plage. « Ah comme c’est étonnant, on vient de voir les californiennes en maillots de bains y aller. » Je ne voyais donc aucune objection à y aller, après tout, le matin, je vois des tortues, des requins et des raies. Pourquoi pas l’après-midi! A l’œil nu…

En arrivant sur la plage, elles étaient dans leur maillot. Où, effectivement, ce sont les genres de maillots où l’on écarte les fesses pour voir le maillot.

Alain lui était déjà sur place en pleine méditation transcendantale.

Je me pose à côté d’Alain sans trop regarder vers le large, car je ressentais vraiment que je gênais la séance photo de ces demoiselles. Comme quoi, elles n’aiment pas être vues en maillot, mais les photos, elles, finiront sur instagram…

Elle vont du coup sur la plage d’à côté pour être tranquille. Donc tout le monde y trouva son compte. Je ne veux pas que l’on me gène quand je regarde Altered Carbon!

Quelques minutes après, trois spécimens mâles tahitiens dans un bateau se profilaient au loin. Mais à la vu des sirènes, entreprirent un virage serré pour s’approcher de la plage. Une fois plus près j’ai pu donc voir ces trois spécimens dont le poids, semblait-il n’égalait que la lourdeur de leurs vaines tentatives d’approches des demoiselles. A tel point que d’un, le bateau me semblait presque pas suffisant pour les supporter et de deux, les jeunes femmes ne les ont pas supportés non plus et sont revenues en trottinant où à votre avis? A côté de moi. Là bizarrement il n’y avait plus de problèmes de partage de plage!

C’était marrant.

Autre drame du jour. Alain et donc devenu un ami proche de Kiko. Ils causent ensemble partage la noix de coco de l’amitié etc. Mais je crois qu’après aujourd’hui, leur amitié ne sera plus la même.

En sortant de ma baignade, Alain revient vers la plage et me dit: « J’ai une chaussure qui a disparu, je crois qu’il s’agit de Kiko » . Selon toutes vraisemblance, leur amitié est allée trop loin et ce dernier a décidé que la chaussure d’aller devait aussi très bien servir de chewing-gum. Donc peut-être réapparaitrai-t-elle, ou jamais. Mais il s’avère que Alain Ragnar vit donc totalement pieds nus. Un vrai polynésien si il fallait encore en douter!

Et voici une journée plutôt calme et loin de tous les tracas. Demain petite sortie prévu. Déjà pour acheter des claquettes pour Alain!

Petite info, j’ai mis à jour ce matin mon article d’hier avec des photos du bateau fantôme et celui de luxe.

A demain pour de nouvelles aventures

La vaisseau fantôme!

Ce fut court et intense aujourd’hui, surtout que rien de tout cela n’était prévu. Et désolé pas de photos, tellement il y en a eu que le tuyau à du mal à faire venir. Je mettrai à jour cet article plus tard.

Après ma ballade quotidienne sur le lagon. Je prends un deuxième petit grand café avec la famille Garnier. Je dis à Francis qu’aujourd’hui nous rendions la voiture de location à la ville. Il me demande si il pouvait faire partie du voyage avec son ami Tiaihau, un Zélandais, oui mais pas les anciens, les nouveaux! Ils avaient besoin d’aller à Papeete pour affaires.

Nous voici donc à midi à Papeete avec une nouvelle voiture gentillement prêtée par Tehani la fille de Francis.

Après un très mauvais casse-croûte nous voici donc en rendez-vous avec le grand patron de Aremiti (société de bateau entre Tahiti et Moorea en autres). Pour discuter des projets sur des bateaux, deux en l’occurrence, le Corsaire et le Haumana. Et donc je me retrouve à devoir parler des projets de modernisation, wifi, domotique, multimédia du Haumana par surprise, les mains dans les poches. Et aussi improviser sur un système d’abonnement avec carte pour les passagers des ferry. Il semble que je m’en sois bien sorti car je dois prendre un rendez-vous avec le directeur du système informatique (DSI) pour la discussion technique. Alain aussi s’est retrouvé embarqué dans l’aventure sans être prévenu, car Francis l’a présenté comme étant le futur décorateur d’intérieur. Puis la discussion pour le bateau le Corsaire, mais ce n’était plus notre affaire, c’était celle de Tiaihau pour son projet d’hôpital flottant aux iles Samoa.

Le directeur nous a confié les clés du Corsaire, bateau de 60 mètres de long, 15 mètres de large, qui malheureusement le terme n’est pas exagéré, pourri sur place dans le porte de Papeete.

Nous avons donc dû aborder le bateau, petit détail, pas de passerelles pour s’y rendre, il a fallu que Francis saute sur le rebord du pont sans tomber dans la mer pour déverrouiller la porte. Et pendant ce temps là, notre Grand Alain Ragnar à sorti ses plus gros muscles de Viking pour tirer l’amarre et rapprocher le bateau du quai, et dites vous bien qu’il l’a fait! Le bateau de 60 mètres de long a bougé et est venu se coller au quai. Incroyable notre Hulk entraiguois!

Après s’en est suivi une phase d’exploration qui est en rapport avec le sujet de cet article. Car vu qu’il s’agit d’un bateau abandonné, imaginez une chaleur étouffante, un intérieur vétuste et dégradé. Mais le plus « excitant » a été d’explorer avec Tiaihau, qui est ingénieur, la salle des machines, donc là aussi, imaginez un endroit abandonné, sans lumière, humide, glissant, avec les plaques qui servent à traversées qui bougent, des trous par terre, de l’huile et essence renversée. Et! Le flash de mon iPhone qui s’arrête pendant quelques minutes. J’ai suivi Tiaihau avec sa lampe frontale, qui m’a expliqué les fonctionnements des différentes parties des machines. Puis le flash de mon iPhone est revenu et nous sommes remontés. Et tout cela en T-Shirt, short et tongs! Et rebelote, nous sautons pour revenir sur le quai.

Quelques minutes plus tard, changement radicale, puisque nous avons visité le Haumana qui en revanche est un yatch de luxe actuellement en révision. Et là c’est beau. Et c’est donc celui-ci que je dois équiper en wifi et domotique. Nous verrons bien.

cabine 11

Puis nous sommes rentrés par le dernier ferry puis le bus au Fare Club et après un excellent miam miam fait par Louise, je suis enfin dans mon lit à vous écrire et je suis bien fatigué mais heureux de ma journée!

Dans les anecdotes marrantes du jour. Pas pu faire de change à la banque. Alain s’est mis à parler anglais car Tiaihau ne parle pas français. Francis a perdue une tong dans l’exploration du Corsaire et j’étais en dessous, je ne suis pas arriver à la rattrapée et elle est tombé dans la salle des machines. Francis a retrouvé par hasard la cousine de sa femme pas vu depuis des années à bord du Haumana. Et surtout j’ai fait ma Poncel ++ du jour. Les clefs du Corsaire, baaaaah, dans la précipitation du saut sur le quai, je les ai récupérées et j’ai oublié de les rendre. Dans mon sac. Donc sans le savoir, j’étais le détenteur du Corsaire pendant une heure et demi!

Aller, rendez-vous demain pour de nouvelles aventures, car nous ne savons pas ce que l’avenir nous réserve comme surprises!

Loin des problèmes

Diantre, que j’ai de la chance d’être ici pendant cette période. Pour avoir discuté avec Thibaut cet après-midi. C’est un peu le désordre pour rester poli.

Entre le matin, la ballade en kayak, avoir vu la tortue nagé non loin de mon embarcation. Puis un petit requin pointe noire nagé dessous et avoir admiré le balais des poissons multicolores sur les coraux ou dansant dans les anéomes. Je suis loin de tous le soucis. Et dire que ce soir cela fait déjà deux semaines, un claquement de doigts et nous voici à la moitié.

Aujourd’hui pas grand chose car il a fait très chaud. Nous avons quand même fait des tests pour un nouveau système de masque en prévention contre le covid-19. Et voici en exclusivité mondiale, la protection totalement sûr:

Si avec cela nous ne sommes pas protégés, je ne comprends pas. Pour la petite histoire. Il s’agit d’un panier entièrement réalisé avec des feuilles de palmiers.

Et ces paniers servent le dimanche matin à apporter les firifiris (beignets entièrement fait à la noix de coco). Oui car quitte à continuer dans l’horreur absolue, quand je suis revenu de ma ballade en kayak, je suis allé un peu nager et en arrivant sur la plage, le compagnon de Heidi arrivait en petit bateau pour apporter les firifiri chauds. Donc forcé de prendre un deuxième petit déjeuner…

Pendant ce temps dans la métropole, Entraigues sur la Sorgue, mégalopole convoité par les grands parties politiques, cristallise les regards au moment des résultats. Cela sera donc une triangulaire pour le second tour. Formidable…

Retour à la réalité et donc à Moorea, après le petit repas du midi, petite séance série TV assis au bord de la plage. Moment de stresse forcément. Alain aussi à stressé longuement dans le hamac.

Après ce moment de tension, nous nous sommes mis au travail pour finaliser l’installation de la dernière borne wifi. Mais ce fut une débauche d’énergie intense! Il a fallu que nous nous asseyons à plusieurs reprises pour reposer nos corps meurtris par l’effort.

Nous avons terminé la soirée de nouveau au bord de la plage, barbecue improvisé avec nos voisins de bungalow, Christelle et Stéphane, ce dernier est plombier et parfois intervient du côté de Morrière-lez-Avignon et Chateauneuf de Gadagne. Vous connaissez?! Et autre détail amusant, il était fier me me montrer les photos de sa trottinette tous terrains Trotrx, et il me disait justement que seul distributeur en France est à Carpentras. « Je sais Stéphane, d’ailleurs, c’est moi qui m’occupe de leur maintenance informatique 😀  » . Le monde est petit, même en étant à l’autre bout…

Et voici donc une paisible journée. Et je vais me répéter, mais qu’est-ce que je suis bien ici. J’ai beaucoup de chance surtout dans cette période. J’en profite!

Aller ododo et à demain pour de nouvelles aventures.

Journée joulies photos et Bob!

Alors paradoxalement, comme vous pouvez le lire en titre, des photos, beaucoup, mais tellement de photos que trop longues à télécharger sur mon ordinateur, donc difficile de partager aujourd’hui. Des photos panoramiques vraiment belles. Des plages et décors que l’on croirait modifiés avec photoshop.

Comme beaucoup de matin, ballade sur le lagon en kayak, cette fois-ci je suis tombé à l’eau, mais plus loin que d’habitude de la plage et pas facile de remonter sur un kayak de course sans appuis. Du coup, nage jusqu’à la plage en poussant le kayak.

Puis nous sommes parti à la grande aventure des billets d’avion pour Maupiti. Et ce fut embêtant car les disponibilités pour aller à Maupiti sont très encombrées. Il a fallut décaler le séjour à Maupiti. Nous irons donc entre le 24 et 27 Mars au petit paradis, ça finira les vacances en beauté. Et nous reposera, car stressant Moorea, stressant…

Sur le chemin du retour nous avons été invités à manger par Robert. Super Robert, un des premiers commando para français. Un jeune homme d’environ 80 ans qui vit de maisons en maisons en Polynésie en tant que gardien. Ce qui s’apparente à une vie de rêve! Il devait rester en Polynésie 2 ans pour découvrir, cela fait 12 ans qu’il y est.

Nous avons vite fait un crochet par le belvédère de Opunohu avec là aussi prises de vues magnifiques et surtout, le super pouvoir d’Alain a encore œuvré, il a improvisé une micro-sieste sur le banc du belvédère. Incroyable, Alain STT (Siestes Tous Terrains).

Bizarrement. Ce midi, la maha (nourriture en polynésien) n’était pas bon, le poisson cru à la chinoise bof bof et le veau bœuf bœuf euh… bof bof.

Et la journée à continuer avec ce niveau de stress intense que l’on connait à Moorea.

Ah si une photo vient d’arriver et quelle photo!

Comme cela, vous serez prévenu, il ne faut pas mettre d’enfant dans un bac en plastique! C’est dangereux! Mais du coup? Comme pourra-t-on faire pour le trafic d’organes? Va-t-il falloir les ouvrir et prélever avant de mettre le bébé dans le bac? Vraiment… On ne peut plus travailler tranquillement.

Aller, il est temps d’aller coincer la bulle. Alain est déjà quelques kilomètres en avance.

A bientôt pour de nouvelles aventures stressantes!

Rando magique et geek

Réveil à l’aube pour s’attaque à un de mes endroits préféré à Moorea, la montagne magique. Une belle randonnée d’environ 1h pour accéder à un magnifique panorama.

7h du matin démarrage de l’ascension.

Enchainement de faux plats montants, pentes assez raides. Mais en grande majorité sur une piste bétonnée, pratiquée par les gros pickup Ford rallongés qui emmènent les touristes par dix.


C’est une fois arrivé au sommet que j’ai voulu me servir de mon téléphone pour appeler mes proches. Mais ce n’était sans compter sur le forfait data déjà épuisé en une petite semaine…

Mais quel spectacle que offre ce belvédère à chaque fois. Prochain objectif y retourner un soir pour le coucher de soleil qui se fait donc à l’ouest ce qui correspond normalement à peu près à l’arrière de la crête de la montagne à gauche de la photo.

En redescendant petite pause jus de fruit frais. Ananas, banane, feuille de menthe. Cela passe comme une lettre à la poste (pas en grève).

Le reste de la journée fut entièrement dédiée à la geekerie pour essayer d’avancer un maximum sur mes travaux d’infrastructures serveurs tout en automatisme. Et ça fait des nœuds au petit cerveau surchauffé car la journée fut chaude.

Alain continue à battre des records du nombre de siestes dans la journée, mais surtout, il a des objectifs! Ouvrir des noix de coco à la Polynésienne. Il a demandé à Lazard d’en descendre une dizaine pour s’entrainer.

Et lors du repas de ce soir en famille, on a abordé le sujet. Bientôt Alain s’appellera Temaru et aura le visage tatoué. Et le fait de vouloir ouvrir des noix de coco à la main est un exemple parfait de l’idée qui germe peu à peu dans son esprit. Et évidement, nous attendons tous avec impatience la rencontre avec Maeva. Mais où es-tu Maeva? L’amour d’un Viking converti en tahitien te tend les bras!

Autre conversation dont la décence m’interdit de publier le contenu sur le blog. Amena Tehani à me menacer de me frapper, donc forcément j’ai réclamé, mais apparemment, les sévices corporels, même pour un vilain garçon, est une pratique payante. Le sens du service se perd!

Demain matin réveil à 5h pour aller à la ville faire des achats et ramener un colis à un touriste tête en l’air qu’il l’a oublié au FareClub.

Bonne journée au métropolitain! A bientôt!

Comment dire…

Il y a des jours comme celui-ci, où tu te demandes, si c’est vraiment toi qui les a vécus ou c’est une procuration à l’inconnu?

Ce matin à l’aube, 5h30. Nous voici de nouveau à la plage au lever du soleil pour faire du kayak paisiblement, légère brise, calme, bonnes ondes etc… Un con qui tombe plusieurs fois du kayak rouge de course car vraiment je voulais maitriser. Et donc sous les rires d’un ami proche, j’arrive bon gré, mal gré à obtenir une légère assurance qui me permet de progresser dans la maîtrise de la F1 des kayak! 😀

Retour au FareClub où là encore, Lazard nous a préparer ce matin du Marava, autrement nommé du poisson lapin. Il avait des belles oreilles! Et surtout il était bon!

Puis nous avons pris la route pour aller faire quelques courses. Au retour, nous avons vaqué à nos occupations.

INSTANT GEEK: J’ai donc presque terminé de refaire mon dépôt ansible-linux avec des playbooks composés dès que possible de includes_tasks. Long et fastidieux!

Puis vers 16h nous embarquons avec Tama pour le « tour », nous arrivons sur un mutu (petite île) pour apprendre à décortiquer une noix de coco, une version différente de la première fois.

Une petite vue sur la plage du mutu sur lequel nous sommes restés

Petite extrait lors de l’atelier ouverture de coco:

Alain: Quand on regarde les trois points du fond de la noix de coco, on a l’impression de voir un paresseux.

Tama: En Polynésie, on dit que le fond de la noix de coco incarne celui qui le regarde.

Non non! Presque aucun rire n’a pu s’échapper suite à cette sortie, je presque promets!

Puis apprentissage du grattage à noix de coco, et là non, je ne peux pas vous publier la photo de moi avec mon engin à la main en train de gratter la noix de coco. Non! Pas possible 😀

Et nous sommes par la suite aller au point de rassemblement des raies et requin pour s’amuser avec eux, oui oui, les raies, nous avons joué avec, les requins, un peu moins, mais régulièrement, des petits bancs de requins à pointes noires, nageait à moins de de deux mètres de nous. Et malgré les croyances de la férocité des requins, le fait de bouger, ils avaient et prenaient leurs jambes à leur cou pour s’enfuir!

Après s’être bien amusé, nous sommes retournés sur le mutu pour cette fois-ci manger. Et là, l’extase!

Groum service de luxe!

Nous avons été obligés de manger sur la plage, du poulet, du uru (leur patate locale) et aussi la fameux, poisson cru au lait de coco. Alain n’aimait pas le poisson cru, mais ça, c’était avant… Et juste pour info, cette dernière photo de plage est donc une plage qui est utilisé pour faire les photos des calendriers des madames tahitiennes qui ne sont pas frileuses du tout et aussi, les films où les monsieurs et les madames se font des bisous tous nus! Et que après, le monsieur, il met son zizi dans la madame et qu’il y a quelqu’un qui filme tout cela!

Bon en l’occurence personne à part nos hôtes, mais quels hôtes, Heidi, suisse de par son Papa mais Polynésienne de naissance, qui a tout cuisiné de manière fabuleuse et Tehama, la soeur de Tama, qui a aussi participé au service et réalisation des cocktails, nous passerons sous silence, le nombre de cocktails…

Ce fut donc une journée merveillseuement belles, pleines de photos et vidéos que je vous montrerai à mon retour. Où nous avons ri tout au long de la journée. Nous voilà de retour au bungalow avec une légère instabilité de l’équilibre et mes quelques dernières forces réunies pour vous rédiger ces quelques lignes qui malheuresement font un pâle reflet de ce que nous avons vécu aujourd’hui, j’aimerai tellement pouvoir partager ces moments avec la plupart d’entres vous. J’espère un jour!

Sur ce, bonne nuit/jour, il est temps d’aller dodo car demain, encore de l’activité!

A bientôt pour de nouvelles aventures!

Il a fallu travailler!

Tout commença par une réveil matinal à 5h.

Direction la plage, pourquoi à cette heure-ci me direz-vous?

Comme certains le savent, afin de conserver mon physique de rêve entièrement fait de muscles, tel un acteur américain qui mange des pizzas et boit des bières. Je fais du rameur. Et donc, il était temps de mettre cela en pratique en faisant du kayak!

Tant quand c’est chez moi, le rameur est d’un ennui mortel. Hors là, dans le lagon de Moorea, le principe reste à peu près le même mais bizarrement, cela se fait avec le sourire!

Bon je dois avouer, que… Les premiers mètres avec le premier kayak, furent quelques peu difficile, voir même impossible, tellement je tremblais pour garder l’équilibre. J’avais fait l’erreur de prendre le kayak « de course », profilé pour la vitesse, donc quand on début, la vitesse, ce n’est pas la première prouesse que l’on effectue et donc, plouf dans l’eau.

J’ai donc repris de manière raisonnable le kayak de touriste. Alain quant à lui a eu le mérite de tenir sur le kayak de course! Il n’a pas fait plus de cent mètres dans l’aller-retour. Mais il n’est pas tomber. C’est son côté viking qui lui permet de tenir sur les flots quelque soit l’embarcation !

Une fois cette séance de rameur dans un cadre plein plus incitant à l’effort que mon rameur d’intérieur. Nous rentrons au FareClub vers 7h pour le petit déjeuner, et quel petit déjeuner!

Du bien nommé, Bec de canne. Que c’était! Merci encore à Lazard qui fait des miracles avec peut de choses, mais déjà quand on a les bons produits, cela aide.

En revanche, le reste de la journée n’a pas été du même acabit. Puisque la salle cuisine commune avec la tables s’est transformé en succursale de QuanticWare. La journée presque complète pour redonner vie au PC chancelant de Francis.

Ce fut très long et cela a pris toute le journée! Résultat, je suis fatigué (alors que non, informaticien, je ne fais que cliquer sur un ordinateur!) et j’ai déjà des absences tout en écrivant ce billet.

Alain lui continue à préparer sa réincarnation en chat en enchainant, manger, dodo, jour, manger, dodo, mais il est heureux, c’est le principal.

Sur ce mes amis, je vais de ce pas m’endormir de manière presque instantané comme j’ai l’habitude pour demain être prêt à retourner tester le kayak et peut-être faire une ballade.

A bientôt!

Problème de Transit 1ère épisode

Ça y est le grand jour est arrivé! Départ pour la belle Polynésie.

Après des premières étapes composées du TGV, des RER parisiens ainsi que les passages de contrôles douane française tout se passe à peu près bien nous embarquons dans l’Airbus A350 direction San Francisco. 12h de vols sans soucis, regardé quelques films. Pour les intéressés du 7 eme art Taxi Driver, The Lost City of Z, Deepwater Horizon et Bad Times at El Royal Hotel. Nous arrivons donc à San Francisco, là pareil, passage des contrôles sans soucis j’ai même causé avec la policière sur les déclarations de colis. Et arrivé au « re-Check » tous les passagers de FrenchBee sont bloqués. Au bout de 10 minutes d’attentes qui ont parues pour certains comme l’apocalypse/armagedon  au point de se foutre délibérément de l’hôtesse qui ne faisait que son boulot tout en parlant un français impeccable, nous arrivons au re-check. Et là un Monsieur monte sur un promontoire et nous annonce: « La correspondance est annulée pour Papeete, un autre avion sera disponible demain matin à 9h, vous allez recevoir les consignes pour aller aux hôtels qui vous sont offert ». Imaginez ceux qui pensaient que 10 minutes bloqués à attendre c’est horrible dans quels états ils étaient. Donc forcément organiser le transit de plusieurs dizaines de passagers vers des hôtels aux alentours ce n’est pas facile. Et les râleurs qui se plaignent tout le temps. Même à me prendre à parti et qui ont pour seule réponse de ma part:  « c’est chouette on nous offre une nuit d’hôtel à San Francisco, on va pouvoir profiter d’une douche et d’un lit! ». 





A ce moment là il est 22h heure locale quand nous sommes tous en train d’attendre l’arrivée des shuttles (comme ils disent les gens là qui causent pas bien le français mais une langue bizarre avec des mots mâchouillés). Pour expliquer, nous sommes repartis dans plusieurs hôtels, des petits groupes se forment selon l’hôtel et arrive le premier shuttle! Youpi le notre! On vite pour aller faire dodo (oups je viens de marcher sur un cafard en direct, oui je vous l’explique plus tard pourquoi). Mais malheureusement le shuttle est trop petit et faut attendre le prochain, on nous indique que les rotations sont rapides. 22h30 toujours rien… Il ne reste plus que nous groupe de 10 à la sortie de l’aéroport et il se met à pleuvoir, l’hôtesse de FrenchBee appelle pour réclamer l’arrivée d’un mini-bus et sur ce fait, le tant attendu mini-bus arrive. Nous arrivons vers 22h45 au Crown Plazza hôtel airport. Et en arrivant un petit groupe de FrenchBee était là avec le visage déconfit, que se passe-t-il ? Tout simplement nous avons été emmené au mauvais hôtel car il existe plusieurs Crown Plaza hotel autour de l’aéroport… sauf que là plus de Shuttle… nous avons donc commandé un uber, qui nous amène au bon Crown Plaza, où nous obtenons le précieux sésame de la chambre d’hôtel offert et en arrivant dans la chambre, petit détail… La fête au bar en dessous avec les basses a fond et le bruit de la route que le double vitrage ne bloque pas et la pluie qui tombe fort, mais l’avantage, une bonne douche, un lit énorme, dodo presque instantané malgré les nuisances sonores. 



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