Les autres premiers jours

Public en délire, tu t’inquiètes de ne pas me voir conter mes histoires. Je vais donc rattraper ce retard en exprimant de manière simple les trois jours qui ont suivis, des listes.

Au magasin d’informatique du coin:

  • Achat d’un disque dur SSD
  • Achat boitier externe 2,5″
  • Clé USB 64Go

Au magasin de bricolage du coin:

  • Achat prise murale RJ45
  • Achat câble RJ45 5 mètres, quantité: 2

De retour au Fare Club.

  • Création clé USB d’installation de Windows 10 Pro x64
  • Démontage disque dur pour remplacement par SSD
  • Installation de Windows 10 Pro
  • Configuration du poste
  • Configurations des logiciels

Autre jour:

  • Configuration nouveau PC
  • Configurations logiciels

Voilà! C’était chouette non?! Cela vous a plu?

Effectivement, après une première journée au FareClub où nous avons discuter tout le long, les autres jours étaient dédiés à faire plaisir à nos amis et leurs demandes d’informatiques, réparations et mises à jours matériel. Ayant le bonheur d’être nourris, logés, il est normal et plaisant de leur rendre service.

Après, il y a quand même eu une première sortie agréable, la montagne magique, en compagnie de Dominique qui nous a donnée rendez-vous au pied de la montagne.

Après une petite demi-heure de montée, la récompense.

Même si ce n’est pas la première fois, ça fait toujours plaisir à voir.

Descente et petite pause fraiche avec enfin la première eau de coco dans son verre bio:

Et là normalement vous vous demandez ce qu’il y a dans l’assiette, « j’vais vous le dire ».

Petit assortiment banane, pomme étoilée, pamplemousse, mange et ce petit pétale de fleur qui répond au doux nom de… Clitoria.

« Pardon Madame, je n’ai pas bien entendu? »

« Si si, ça s’appelle clitoria »

« Ah bon? Et le fruit vagina il est où? »

Et encore j’ai appris par la suite qu’ils ont aussi comme plante, le pandanus.

Voilà, voilà voilà… On a fait le tour si je puis dire.

Tama vient nous récupérer en voiture pour nous ramener et nous dit:

« Au fait les gars, vous savez qui est sur la plage du FareClub? »

« Bah non? »

« Vaima est là? »

« C’est qui Vaima? »

« Bah c’est Miss France! Du coup je vous amène directement au resto ou vous voulez faire un tour par le FareClub »

« Bah JUSTEMENT ça tombe bien, faut que je passe au FareClub pour changer mes affaires et puis tant qu’on y est, bah on ira faire un petit tour à la plage 😀 « 

Et effectivement, nous avons croisé Vaimalama… Dans sa voiture… En train de partir… Mais pourquoiiiiii??? 5 minutes de plus aller! Pour ceux qui ne me crois pas, allez sur son compte instagram ou facebook, il y a la photo d’elle sur la balançoire avec un ukulélé, c’est là, Fareclub de Moorea.

Après cette grande déception dans la vie, une seule solution, aller manger! Donc direction chez Fred, non pas chez moi, mais l’autre Fred pour le bon miam miam dont voici l’illustration.

Mi cuit de ha’urā (espadon) avec ses frites de huru

Servi avec un jus de fruit frais fait maison, que c’était bon!

Après cela, Dominique repart chez elle et nous, retour au camp de base et entre série, reportages et sieste, la journée s’est passée. A partir du soir la pluie s’est mise à tomber et c’est au moment où j’écris ces lignes que ça s’est calmé. Dire que dans le sud de la France nous en manquons!

Sinon, trois points négatifs à aborder, et oui…

Les moustiques débordent d’énergies, je n’ai pas souvenir que les fois d’avant il y en ait autant et agressifs, même un drap, ils piquent à travers, « craint dégun ».

Le téléfilm sur la Reine Pomare IV que tout le monde attendait avec impatiente. Et bien, c’était très mauvais. Cela ressemblait à un clip vidéo fait avec un iPhone sans être retravaillé. De plus l’histoire, c’est surtout ses histoires d’amours parsemées de l’Histoire de la Polynésie. Pour au bout de deux heures d’ennuis cinématographique, cela s’arrête sur la Reine et le gouverneur français en train de regarder les plans de la future ville Papeete. Oh! Cinquante ans de règne la Dame et on s’arrête là? Avec le battage médiatique avant, les entrevus d’acteurs et la descendante de la Reine qui dit qu’elle est tellement heureuse de ce film. C’est vraiment dommage… Ce n’est pas rendez hommage à l’Histoire.

Et dernier point et non des moindres, la multiplication des délits. Le fléau ce propage à vitesse grand V et c’est tellement dommage. Tous les jours il y a un cambriolage, dans les parages. Dire qu’il y a à peine deux ans, cela n’existait quasiment pas. Depuis quelques semaines, c’est en permanence, jour et nuit. Quelle tristesse…

Bon aller, il y a tellement de belles choses autour. Nous continuons à profiter.

A bientôt

Première journée, MANGER!

Nous voici donc en terre promise.

Et évidement premier réflexe en arrivant, aller au WC, aller au bureau de change pour avoir un max de tunes, aller prendre un café.

Nous prenons les cafés commandés et nous rencontrons, aussi descendue de l’avion, Dominique, une dame venue en vacances, je lui propose de prendre le café avec nous pour discuter et nous voilà finalement partis tous les trois, en partageant le taxi, direction le marché couvert de Tahiti.

Au marché couvert, l’objectif était simple: MANGER! Et je rêvais de retrouver le stand de porc braisé, cela peut paraitre bizarre étant à Tahiti, mais malheureusement, pas de stand en semaine, donc consolation, mon premier poisson cru au lait de coco.

Et ça fait du bien! À 7h du matin le poisson cru au lait de coco et bananes en dessert!

Une fois tout cela mangé, nous allons donc chez Vini, un opérateur téléphonique local pour avoir la carte sim de touriste et qui dit touriste, dit, payer beaucoup plus cher pour moins de service, cela a faire rire la vendeuse quand je lui ai demandé avec cette même phrase.

Nous allons déposer nos valises dans la location de Dominique afin de pouvoir plus aisément se mouvoir à Papeete. Pour comme second objectif de la journée, trouver un t-shirt blanc. Oui je suis capable de me trouver des défis impressionnant, car je dois aller faire les boutiques…

Mais évidement après tant d’effort, il fallait recharger le batterie en allant boire un grand smoothie au Maeva Café et dans la carte nous sélectionnons tous les trois le fat borner, et ce qui m’a beaucoup rassuré, c’est qu’il était précisé que c’était vegan, argument qui me touche personnellement !

Je ne me souviens plus de ce qu’il y avait dedans, au prochain passage à Tahiti j’irai prendre la photo, mais il y avait du céleri, du gingembre, et ça arrache grave! Même le serveur qui l’a préparé nous a dit qu’il l’a gouté et qu’il le trouvait bien fort.

Après cette petite pause, recherche de T-Shirt et bien sachez qu’un T-Shirt blanc en XXL en coton, sans inscription, sans marque ou autres décorations, c’est très très difficile à trouver. C’est après avoir visité facilement un dizaine de petits magasins et un intersport que je trouve enfin ce que je cherchais dans un petit magasin qui s’appelle chez Juju. Et c’est ce même petit magasin où j’avais trouvé mon bonheur il y a trois ans. Avec des serveuses adorables, sourires et professionnalisme. Cela devient tellement rare pour être souligné.

Après encore un si gros effort qui nous a obligé à avoir parcouru 8,49 kms dans Papeete, il était midi et donc MANGER!

Retour au Maeva Café mais pas le même, où nous avons commandé la salade Maeva, composée de thon, tomates, concombres et sauce aigre douce. Bien sympa.

Sauf que nous sommes en vacances et le temps passe vite et le ferry pour Moorea arrive à 14h10, nous arrivons à temps. Nous montons et là, Alain et moi, fin de partie, dodo dans le bateau, les 36h passées commencent à être lourdes dans la balance. Surtout que une fois arrivés à 15h sur le port de Moorea, il fallait attendre jusqu’à 16h30 le bus. Encore attendre, mais, ne pas attendre tout seul, pendant que Alain partait faire une méditation tanscendantale allongée, j’ai rencontré Béatrice touriste espagnole qui cherchait les horaires de bus, je le lui donne et nous commençons à échanger quand mon téléphone sonna, Francis me demandait où nous étions, je lui réponds que nous sommes au port mais qu’il faut encore facilement 2h avant d’arriver au Fareclub et que nous sommes vraiment très fatigués. « J’arrive, je viens vous chercher » ouf… Nous avons même pu proposer à Béatrice et sa mère de profiter du transport de Francis pour les déposer à leur location.

Nous voici enfin au Fare Club et nous faisons connaissance des nouvelles personnes qui y travaillent donc notamment Harold, mon nouveau meilleur ami au monde, pourquoi? Ancien chef cuisto qui travaille maintenant au Fareclub. Il nous a préparé à manger une soupe au poulet avec nouilles, c’était simple, mais tellement bon après tant de temps.

Puis la fatigue étant tellement forte, nous sommes allés dormir, pour enfin une vraie nuit!

A bientôt!

Vers Tahiti

Ça y est c’est le Grand Jour, nous partons pour Moorea, enfin.

Accompagné d’Alain. Et qui dit Alain, dit… Je vous laisse le choix des adjectifs.

Pour vous aider à trouver un adjectif: Ma mère m’appelle alors que nous étions dans le train pour me dire que la carte d’identité, la carte vitale, mutuelle et permis de conduire d’Alain, eux, sont restés jonchés sur le sol dans le jardin. Bravo! On applaudit avec toutes les mains disponibles.

Les transports dans Paris se font facilement.

Les enregistrements à l’aéroport se passent sans soucis. Bien qu’à un moment, une belle hôtesse d’accueil nous dit « Bon voyage Messieurs Dames », nous nous retournons d’étonnement, elle se met à rire, du coup j’enchaîne: « Excusez-moi Monsieur! » et elle me répond: « Oui désolée! Si je n’avais pas mon costume, je vous aurais fait un gros câlin » « Si vous voulez je peux rester 😀 ». Ça commence fort bien!

Nous arrivons au scanner des bagages. Hop! Contrôle aléatoire. Et sur qui ça tombe le contrôle aléatoire pour savoir si il a de la poudre explosive sur ses appareils, Alain! Forcément! Encore un bon moment à rire avec le contrôleur ceci dit.

Arrivée dans la zone d’embarquement, c’est le moment de faire les achats biscuits pour le voyage. Et je ne savais pas, mais j’ai acheté des biscuits plaqués or, incrustés de diamants! Car pour 2 boites, 1 sachet d’amende + 2 bouteille d’eau, 18€50. La caissière a dû le lire sur mon visage et a commencé à me dire qu’elle n’y étais pour rien.

Nous attendons l’avion, et attendre c’est la principale activité d’un aéroport.

L’avion est là et quoi qu’il arrive on se pose la question, comment ça va se passer pour les 10h40 de trajet, mais finalement bien! Enchaînement de divers films, à tel point que j’ai même regardé des films français! Des comédies.

Nous arrivons à San Francisco, avec comme objectif principal, non pas traverser et prendre l’avion suivant mais! Acheter un iPhone 14 à moindre prix. Mais tout d’abord les contrôles et force est de constater que l’administration américaine se « détend du string » ! Car il y vraiment beaucoup moins de contrôle qu’avant, et ce qui prenait avant presque 1h30, sur les 2h de temps de correspondances, se fait tranquille en 30 minutes et avec de la chance car nous avions les files d’attentes qui étaient raccourcis juste à notre passage!

Deuxième partie de voyage, et là, ça été un peu plus difficile avec la fatigue et les 8h de voyage, mais enfin, enfin! La terre promise, 5h du matin, le soleil était encore au lit, mais nous posons le pied sur le tarmac de l’aéroport et à l’inverse de l’accueil américain, l’accueil tahitien:

Et après contrôle, juste mettre le tampon sur passeport, nous sortons de l’aéroport !

Victoire !

A bientôt pour la suite de la première journée

Retour à Dreux

Dernier jour de promenade en Normandie.

Après une revue militaire du propriétaire de la location, oui, j’avais pressenti qu’il était militaire, j’ai tapé dans le mille. Car tout est organisé, ordonné, signé etc. Et surtout presque avec la larme à l’œil quand il nous expliquait que les cimetières étaient tellement beaux tellement c’est net, propre et carré. Mais un gentil monsieur. Nous nous saluons et prenons la route direction Caen pour la restitution de la voi… voi… ah non je n’y arrive toujours pas.

Tour de la voiture, tout va bien, mais la dame nous demande si cela parait logique qu’en trois jours nous ayons parcourus 3000 kilomètres, gloups… C’était une simple erreur de note du précédent employé.

Après c’est les trains, Caen > Argentan > Dreux.

A Dreux, marche jusqu’à l’hôtel etc. Et Michel vient nous récupérer pour faire une nouvelle visite de Dreux et plus spécialement, la Chapelle Royale Saint-Louis, lieu où repose les d’Orléans. Rois de France. Et coup de chance, vu qu’il s’agissait des Naturalies 2022, pour seulement 5€, nous avons pu visiter les jardins et la chapelle avec le guide Michel qui nous a expliqué toute l’Histoire, comme d’habitude passionnant.

Le donjon bureau

Cette photo d’un donjon est en fait le bureau de Louis XVIII et il s’avère que les portes restent fermées car à l’intérieur, tout est laissé presque à l’abandon de l’époque et donc malheureusement cela se détériore avec le temps.

Chapelle Royale Saint Louis
Le centre de la chapelle

Hallucinant la finesse du travail. C’est merveilleux que des artisans aient pu faire cela. Et surtout la Chapelle Royale Saint-Louis, c’est aussi les gisants de la famille Royale et là encore, un travail d’orfèvre, fabuleux. Alors même si la photo suivante n’est pas forcément plaisante.

Prince Louis d’Orléans

Il s’agit du Prince Louis d’Orléans, petit-fils du Roi Louis-Philippe décédé en 1874 à l’âge de seulement 7 ans. Mais au-delà de mort prématurée, c’est le travail fait sur le gisant qui m’a fait prendre cette photo. Ce gisant est connu sous le nom de « L’enfant Voilé » car il se dit que cet enfant était trisomique, d’où le voile. Mais quand on est devant, le voile, on le voit et pourtant c’est du marbre travaillé. Subjuguant.

Une fois la visite de la Chapelle terminée, nous nous sommes rendus en centre ville pour visiter l’église Saint-Pierre de Dreux (non pas de Rome, même si on avait fait 3000 kms). Là aussi avec les explications de Michel.

Après tant de culturage, retour aux fondamentaux. BIERE! Et MANGER! Et manger du gras, du fris, mais du bon!

Madame Frite le petit resto, burger et frites maison!

Après ce repas diététique, il est temps de rentrer à l’hôtel et sur le chemin, j’ai adoré ce tag.

Marie connectée

Fini donc. Là encore, quand on s’amuse, le temps passe à une vitesse anormalement rapide. J’ai découvert une région merveilleuse, la Normandie, Histoire, nature, miam miam, sourire des gens. Nous avons beaucoup de chance avec une météo radieuse et mon père très heureux d’avoir revu les endroits de son enfance. Mais très certainement pas la dernière fois! Demain à l’aube, direction la gare pour enchaîner les changements jusqu’au retour dans le sud! Ce fut un formidable séjour.

A bientôt

Sur la traces des ancêtres

Aujourd’hui la mission était d’aller voir les villages de naissances des ancêtres Besnard.

Nous décidons d’un circuit longeant toute la côte est de la Normandie depuis Barfleur au nord jusqu’à la pointe du Hoc puis Bayeux à l’est.

Pour commencer la journée, on a déjà vu pire, petit café sur le port de Barfleur

Puis nous nous rendons à Saint Vaast la Houge pour voir des vieux jouets montés par des vieux messieurs qui avaient peurs des anglais.

Et là on sent bien l’iode, mais aussi la marée…

Puis direction Utah Beach, on se dit que l’on va prendre la route le long de la mer pour profiter. Effectivement, nous avons profité de la vue.

Et de l’autre côté de la chaussée, des vaches, puis des vaches et aussi, des vaches. Mais elles sont mimis.

A Utah Beach quelques monuments dédiés aux américains, ils aiment biens en mettre un peu partout ces gens là, à croire qu’ils voulaient s’installer… Il y a un gars qui attend depuis quelques temps de repartir, lui n’a pas compris la politique américaine.

Utah Beach

Maintenant direction Carentan, ville de naissance de Louis Besnard (grand-père) mais une fois arrivé à Carentan, petite douche froide, c’est devenu une grande ville, avec pleins pleins de commerces franchisés. Forcément 70 ans plus tard, quelques changements…

Autres étape familiale, Saint-Pèlerin, là je n’ai pas de photos précise, mais il faut imaginer une place principale avec une aire de stationnement d’une vingtaine de voitures, une église géante avec son cimetière et toujours à côté, la petite mairie et trois rues. Voilà, nous avons fait le tour de Saint-Pèlerin où est né arrière-grand-père Besnard.

Arrive le moment important, midi! A Isigny sur mer, rien de bien inspirant, donc direction Grandcamp-Maisy, un petit resto à côté du port.

Dos de cabillaud avec ratatouille maison et le cidre qui va avec, bien sympa. Derrière nous, une tablée de six messieurs entrepreneurs artisans certainement, mais au fur et à mesure que l’heure du repas avançait, ce n’était pas les plats qui s’enchainaient sur leur table, mais les verres de blanc et de bière. Un repas liquides… C’est normand comme tradition?

Nous allons en direction de la pointe du Hoc, où de très nombreux soldats on eu le courage/folie, d’escalader les falaises pour attaquer les allemands, regardez, c’est absolument fou de croire ce genre d’attaque sur ce genre de relief.

Au bout de la pointe du Hoc, un monument « erected » (érigé en anglais) par les américains, mais je trouve cela d’un goût très douteux et n’ose imaginer la tête des dignitaires et anciens combattants lors de l’inauguration, je vous laisse juger, mais ne dites pas que j’ai les idées mal placées.

C’est quand même bizarre!

Hop, la route, direction Bayeux pour voir la place du marché au bestiaux et si il reste le bar d’Amanda qui est la grand tante. Après une petite demi-heure de route, nous nous garons et nouvelle déception, il s’avère que 70 ans après, il n’y a plus de place du marché aux bestiaux, nous nous y attendions un peu… Une grande place pour garer les voitures et le grand bâtiment de l’intercommunalité de Bayeux. Le tour fut rapidement effectué. Pour après aller prendre un café puis rentrer au camp de base de Picauville.

Dans la grande mégalopole de Picauville, un tour à la boucherie charcuterie pour le nécessaire du petit déjeuner du lendemain. Mais j’ai failli fondre en larme. Au détour d’une rue, je vois:

La plus belle voiture au monde

Ma tutuuuuuuure ! Mais qu’est-ce tu fais lààààà?! Donne moi ta carte, je veux refaire joujou avec toi et abandonner la Chiotte 500 chez un ferrailleur. Que l’on puisse aller arpenter les petites routes de campagnes normandes.

Après ce moment de vive émotion, nous reprenons la route pour Saint-Mère-Eglise, connue pour?! Cela:

John Steele

Ah le boulet! Même pas capable de bien atterrir, pourtant c’est si facile, avec les obus qui pètent dans tous les sens, les tirs, la fumée. Un jeu d’enfant.

Mais le principal n’était pas là, c’était MANGER! Mais là surprise! Le restaurant était exceptionnellement fermé. Pas grave, on fait dix kilomètres pour aller au second et là, surprise! Fermé! Et finalement dix kilomètres plus loin, nous sommes atterris (nous sans problème pas comme l’autre sur l’église) à Saint-Marie-du-Mont au restaurant l’Estaminet pour quelque chose de merveilleux, une choucroute de la mer!

Après ce bon miam miam, il était temps de rentré pour faire le dodo réparateur de nos corps affaiblis par une nouvelle journée à plus de dix kilomètres de marche.

Demain retour à Caen puis Dreux.

A bientôt

D-Day

Aujourd’hui, c’était la journée 39-45 et plus précisément 06-06-1944.

Mais avant d’arriver à Arromanches, le drame! Nous allons à Caen pour récupérer la voiture de location, arrivés sur place, on nous annonce un délais car problème sur la twingo prévue. Et finalement, avec un grand sourire: « finalement, nous vous avons surclassé! »

Un pot de yaourt…

AAAAAAAAAAAAH! QUOI CA SURCLASSE?! Mais je veux être sous-classé! Je veux une twingo! UNE FIAT 500! Un pot de yaourt, l’horreur automobile absolue. Pas moyen, ils n’avaient plus rien d’autre… Mon amour propre a été blessé. Même le loueur à reconnue que ce n’était pas forcément une « chance » mais malheureusement, pas d’autres solutions… Au moins il y a CarPlay, j’ai branché mon iPhone et tout fonctionne.

Après trois quarts d’heures de route, nous voici donc vers midi à Arromanches où donc nous « amis » les américains et alliées ont débarqués. C’est assez impressionnant comme lieu avec les vestiges encore visibles, mais qui peu à peu se font grignoter par la Manche au gré des marrées.

Mais les émotions, ça creuse!

L’après-midi visite du musée du débarquement, très intéressant pour se rendre compte du « génie d’ingénierie » mis en place pour le débarquement. Et surtout qu’ils pensait à apporter du whisky lors du débarquement!

Une petite vue sur la plage depuis le bunker

Sur la photo ci-dessous, sur le côté gauche une grue qui participe à la construction du nouveau musée du débarquement, plus grand et ce n’est pas un mal, car il est vraiment tout petit ce musée et mériterai plus d’exposition.

Nous sommes retournés à notre voi… voi… enfin le truc là… Et sur le chemin j’ai pu remarqué que certainement à cause de la corrosion des bâtiments de guerre l’eau doit être bizarre et voici à quoi ressemble les arbres à Arromanches.

Et maintenant c’est direction, le cimetière américain, là aussi très impressionnant. C’est propre, c’est net, pas un brin d’herbe qui dépasse. Ils ont le sens du spectacle les ricains, il n’y a pas à dire!

Cimetière accueillant 9400 tombes de soldats. Avec parmi elles, celle de Théodore Roosevelt Jr. fils ainé du président Rossevelt, décédé en Juillet 44, la tombe d’un jeune militaire mort à 17 ans… Et celle que j’ai prise en photo plus particulièrement.

Les frères Niland, cela ne vous dit peut-être rien, mais pour ceux qui sont cinéphiles, si je vous dit Ryan, c’est normalement plus parlant. Pour ceux qui ne connaissent pas, leur histoire a inspirée le film, il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg avec Tom Hanks, dans ce film, la famille Ryan a dû envoyer ses quatre fils en France et trois sont morts rapidement. Une mission est mise en place pour aller récupérer le quatrième fils Ryan pour éviter à la famille de perdre tous ses garçons.

Et la journée des visites se termine ainsi. Le temps de rentrer à notre nouvelle location à Picauville, une petite location très charmante au milieu d’un petit bourg, des champs, des animaux partout, parmi les animaux qui courent partout, des mini-humains et phénomène paranormal, tout le monde a le sourire et spontanément disent bonjour… C’est louche!

Une petite marche de 3 kilomètres pour aller chercher de quoi se restaurer et il est l’heure d’aller faire le grododo pour demain encore une belle journée de visite du nord-est des côtes normandes.

A bientôt!

Normandie

Petit séjour en Normandie avec mon Père sur les traces de ses ancêtres les Vikings, mais on va tout de même rester dans une échelle de temps plus raisonnable, ses parents.

Mais avant quel ne fut pas notre bonheur d’arpenter la capitale, avec son beau soleil, ses gens souriants, son métro qui sent les fleurs de printemps avec de la place pour s’allonger… Et la gare Montparnasse, avec les Hall 1,2,3 et 4. Et sur le panneau d’affichage, notre train sera à la voie 21. Mais c’est oùùùùùùù ?! J’ai eu un coup de bol, je l’ai trouvé facilement.

Et nous arrivons à Dreux!

Boulevard Louis Terrier à Dreux

Voici la maison où il naquit, en ce début d’année 44 et qui dit début 44, dit feu d’artifice! Oui à ce moment, il y avait des gens qui tous les jours envoyaient des pétards à la moindre occasion! Donc les villages faisait retentir les sirènes pour prévenir que la fête commençait! Sacrée ambiance à l’époque!

Maisons à colombages, les très rares restantes

Michel un ami, nous a récupéré à la gare SNCF et à partir de là, nous avons eu le droit à une visite guidée de Dreux, avec tous les détails historiques, les détails que l’on ne peut pas se rendre compte aux premiers abords. Passionnant ses récits.

Rassurant, les arbres n’attraperons pas de rhum!
La maison du noir

Cette photo peut paraître quelconque, mais ce qui est important, c’est que pendant la guerre, les drouais avaient planqué tout le pinard et la bouffe dans les faux murs, AHAH! Riens que pour ça cette maison devrait être au patrimoine de l’UNESCO.

Michel nous a tellement raconter d’anecdotes historique sur les cochonneries des rois de France que l’on se dit quand même que la Normandie, il fait peut-être froid, mais à l’intérieur des châteaux, c’est chaud!

Le concept est génial, tu fais un bébé, tu le mets dans la boite aux lettres aux normes de l’époque, tu sonnes, tu pars en courant et HOP! Les bonnes sœurs s’occupent du bébé. Très fort Amazon pour l’époque!

Chemins dangeureux

L’étape sportive du jour, puisque dans le village du Crécy-Couvé, village à M’dame Pompadour à fait monter à l’époque une tite maison trois-fois rien. Après avoir écouté « religieusement » Michel nous expliquer les diverses types de pierres (oui il va jusqu’à expliquer ça) qui constituent l’église, nous descendons par ces petits chemins pour découvrir bah rien… La machine à pression (pas de bière) d’eau de l’époque n’est plus là, même pour expo. Qui avait quand même la capacité aux XVIIIème siècle de remonter l’eau jusqu’au château. Et le dénivelé à faire à pied est assez difficile!

Maison du XVIème « dans son jus » et qui tient encore debout!

Michel nous arrête à beaucoup d’étapes, nous emmène dans le fin fond des villages pour nous présenter et expliquer ces petits morceaux d’histoire.

Pour Monsieur Hubert Latham

Je ne vais pas raconter la vie de ce pilote fou furieux, car à l’époque pour être pilote d’avion fallait être fou, mais sachez que à seulement 500 mètres des côtes anglaises, il échoua et ne pu être le premier homme à traversé la Manche, Louis Blériot réalisa l’exploit quelques jours plus tard.

Autre anecdote sur le village de Maillebois, son château, donc Latham fu le propriétaire, eu un autre propriétaire aussi, le Docteur Paul-Félix Armand-Delille, qui dans ce même château, fit une expérience sur les lapins que nous connaissons sous le nom de: myxomatose! Et oui, il a cru que les lapins resteraient sagement dans le parc, raté…

Vestige d’un des derniers moulins « horizontaux »

Nous arrivons donc à Brezolles, où nous avons fait une dernière visite de village et après nous avons fini chez le traiteur pour manger après une bonne journée de marche!

Demain la journée commencera tôt car nous allons sur les côtes normandes pour voir les plages du débarquement! Youhou!

A bientôt!

Ma Sœur attaqué par des bêtes sauvages! Et Marais Poitevin

Titre aguicheur, puisqu’il s’agit d’une mode dans le merveilleux monde d’internet. Pour que tous les gens cliquent sur mon articles et que je fasse pleins de vues et gagnent pleins de sous!

Pour en revenir au sujet principal, Vendredi était la dernière journée chez ma sœur en Vendée et nous sommes allées dans le zoo de Mervent. Petit zoo sympathique. Et comme à chaque fois un sentiment mitigé dans ce genre d’endroit. Entre la tristesse de voir les animaux majestueux ou coquins et attachants dans des « prisons » dorées, mais en contre-partie, se dire que ce sont peut-être une des solutions contre la bêtise de certains humains qui détruisent au lieu de construire.

Le Monsieur Tigre qui fait les cent pas, seul, mais il y a une bonne raison, il ne supporte pas Madame la Tigresse et donc forcé d’alterner les jours dans l’enclos.

Et les Suricate, la curiosité incarnée, s’approchent volontiers des visiteurs, se construisent des immeubles souterrains incroyables. Et eux n’ont certainement pas besoin de GPS pour y circuler.

Et donc maintenant, la photo choc, âmes sensibles s’abstenir. L’attaque d’animaux sauvages du zoo sur la grand sœur, c’est insoutenable, une agonie qui a durée de longues minutes, même les gens du zoo étaient impuissants et ont regardés cet horrible spectacle de ma sœur dévorée:

Les TERRIBLES lémuriens ! La marque de ces lémuriens ce sont les Maki Catta. Ils se sont précipités sur elle et pendant donc de longues minutes, ont léchouillés ses chaussures. Les soigneurs du parc en rigolaient aussi, ils nous ont dit que c’est certainement du au sel qui a imbibé les chaussures. De belles vidéos aussi mais trop longues où l’on voit les luttes entre différentes races de lémuriens pour la conquête de territoire, mais il s’avère que les Maki Catta font cela jute pour embêter les Vari (autre race de lémurien) qui pioncent au soleil.

Diego, le Vari, Liiiiiibre dans sa tête!

La suite de la visite fut intéressante, avec les loups, le Gros Nounours! On pouvait même rentrer dans certains enclos, non non, pas celui des lions, ours et autres, les wallabies, les chèvres etc.

Comme ma Marianne d’amour! Les quatre pattes en l’air pour roupiller

Ma soeur adorant les zoo, nous avons fait un second tour. Et pareil, image choquante, âmes sensibles, bla bla bla…

Je vous laisse à votre imagination gallopante

Nous sortons donc du zoo, direction le Marais Poitevin et un petit restaurant au bord du canal.

Farci poitevin

Avec un petit farci poitevin, flan composé de légumes, mais surtout cuit dans le gras avec des lardons, huuuuuum!

Après cette étape gourmande, nous n’avons pas pu faire la petite ballade en barque, car beaucoup de monde et le temps menaçant. Nous en avons profité pour aller faire la visite guidée de l’Abbaye de Maillezais qui a une belle histoire intéressante, trop longue à expliquée ici, mais il faut se dire que suite à la destruction totale de la région par des barbares (Oui, les Vikings, que les gens concernés se posent des questions!) les moines ont reconstruits et créés une place forte dont la puissance et le pouvoir arriva à s’étendre jusqu’à Toulouse! Et que même le Pape Jean XXII est venu depuis le siège social de l’entreprise Catho & Cie qui se trouvaient en Avignon pour voir l’étendu du travail dans le Marais Poitevin qui avant était un port maritime car les eaux étaient plus hautes.

Regardez sur cette dernière photo, un champ de lavande, ici, dans le Marais Poitevin et puis quoi encore?! VOLEURS! C’est en Proveeeeence les lavandes, con!

Nous sommes donc après rentré avec une bonne heure de route.

Ainsi se conclut mes vacances en Vendée, pas beaucoup de soleil, mais beaucoup de plaisir avec Corinne et Alain. Rendez-vous l’année prochaine pour y retourner avec une commande de soleil en avance pour ne pas être en rupture de stock comme cette fois.

Chemin du retour avec une petite halte d’une journée chez Angélique et Patricio dans la région Lyonnaise. Avant de retourner dans le sud, où je vous rappelle, il fait 400 jours de soleil par an!

A bientôt

Madelaine trempée de ATCHOUUUM

Les vacances au soleil, le barbecue, la piscine, la bonne humeur etc. Mise à part ce dernier point, ce n’est pas du tout le cas. Une journée, absolument horrible d’un point de vue météo.

Il y a environ 25 ans de cela, je partais en vacances avec mes parents à Noirmoutier. Aujourd’hui, je retourne à Noirmoutier avec ma frangine et mon beau-frère.

Nous nous rendons au passage du Gois pour voir si la route n’est pas submergée afin d’aller sur l’île de Noirmoutier.

Prochaine marée basse à 22h15

Et comme vous pouvez le constater, le soleil, lui aussi est en vacances et il n’est pas allé en Vendée cette année.

Pour info, le port du masque est obligatoire, oui oui, c’est Monsieur l’agent qui nous a demandé de le mettre. C’est tellement un endroit à risque le passage.

Et aussi instant cocasse, une voiture s’est engagée, malgré tous les avertissements, la voiture s’arrête et demande à ma sœur si c’est possible de passer…

Puis nous nous rendons dans la ville de Noirmoutier (l’île de Noirmoutier est composée de plusieurs petits villages) et là, GUERRE! Intermittences de pluies fortes et faibles et à 14h30 et recherche de la crêperie qui nous acceptera. Et après une heure à marcher et être trempé, rien, rien de rien. Nous avons dû reprendre la voiture et quitter l’île.

Mais je repars avec une vision de bonheur en plein cœur de la ville

Telsa Model S Noire mat, le rêve !

Sur le retour, par curiosité, nous allons au passage du Gois, mais de l’autre côté, car c’est comme un bâton, il y a deux bouts (Tiens? Quelqu’un n’aurait pas fait un sketch sur ce thème?)

On ne pas passer là non plus?!

De retour sur le continent, à Saint-Jean de Monts, nous trouvons enfin une place et une crêperie ouverte pour nous soulager de ces mésaventures.

Puis petite ballade et retour au camp de base pour finir la journée sans le soleil.

Qui dit pas de soleil, du vent, de l’humidité, des changements de températures, petit symptôme de mal de gorge. Donc vite vite, les petits points que m’a appris Guy pour essayer de passer cela et passage par la pharmacie pour un petit bonbon! Et là j’ai découvert que toutes les maladies au monde avaient disparues. ll ne restait plus qu’une seule maladie, le covid! Car Madame la Pharmacienne a très lourdement insisté pour que je ne fasse tester. Mais je ne veux pas! A moins qu’il y ait une raison financière de gagner de l’argent sur chaque test, je ne comprends pas cet acharnement.

Ce n’est qu’un détail de la journée qui se finit bien sous le so… Non la pluie. Demain ça ira mieux!

Vivre en dictature

On entend beaucoup parler en ce moment de privation de liberté, de dictature etc.

Mais les gens ne savent pas ce que c’est de vivre sous une dictature. Moi je sais! Je vis sous le joug tyrannique de ma grande sœur, la Générale Coco!

Hier j’arrive vers 12h après 6h30 de route et paf! On mange et après on se repose, et bien non! Randonnée au pas de course, 10kms! Et le soir en formation serrée, direction le restaurant.

Merlu sauce blanche

Et en dessert pour achever

De la Gâche (Brioche Vendéenne) aux pommes!

Enfin je me repose le soir venu avec un temps d’endormissement proche d’un record Olympique.

Le lendemain matin, je me dis, tranquille enfin les vacances, là encore, raté! La Générale Coco nous oblige le matin à aller à pied chez le poissonnier, avec évidement une étale garnit des pêcheurs locaux et donc sans les étiquettes et le plastique des supermarchés.

Exercice suivant, aller au bord des étangs d’ostréiculteurs pour acheter des huitres. Enfin! Le repos est en vu, avec la possibilité de se détendre.

Non! Non! Et re Non a dit la Générale Coco, aller! Au pas de charge, promenade de 12Kms!

Malheureusement, celui-là aura du mal à faire une régate

Et ce soir rebelote, forcé de manger des produits de la mers! De la raie. Je vous laisse imaginez les discussions et sorties poétiques à propos de la raie lors d’un repas…

Encore une difficile journée que j’ai du traverser courageusement.

A bientôt

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