Poste de travail

Peu d’évènement aujourd’hui. Mais toujours une belle journée à Moorea.

Ah si l’installation des bornes wifi et du coup, la mise en place des nouveaux bureaux de QuanticWare.

Conditions de travail difficiles, je pense que je vais devoir monter un groupe gilets (masques) jaunes pour dénoncer tout cela!

Et bizarrement, avec ce cadre, je suis détendu et créatif! Aller savoir pourquoi…

A demain!

Jour de travail

Et oui, comme quoi, même au paradis, il faut suer!

Après une séance matinale de kayak sans être tombé! Nous nous sommes rendus à l’aérodrome pour les billets d’avions pour Maupiti. Et pas que cela. Puisque évidement, à l’agence de Air Tahiti, l’imprimante ne fonctionnait pas. Forcément, j’ai « réparé » c’est un bien grand mot, mais quoi qu’il arrive, les imprimantes me poursuivent, d’ailleurs la veille Robert aussi me demandait une intervention sur son imprimante. Malédiction! Et ce n’est pas fini, vous allez avoir.

Avec Alain, nous sommes dans une quête ô combien difficile. La recherche d’un hamac et figurez-vous que cela est vraiment difficile, nous n’en trouvons pas. Même en demandant, les gens ne savent pas. Incroyable non?!

En revenant au FareClub, intervention informatique à distance, puisque que je me connectais au PC à distance d’un client ayant son entreprise à Camaret. Et devinez pourquoi? Pour réinstaller les imprimantes qui ne fonctionnaient plus. Je n’en peux plus de ces engins. Je n’en peux plus, même à l’autre bout de la terre.

Par curiosité, j’ai regardé le prix des billets et là stupeur. Ce qui à l’origine était à 33000 XPF était en promo spéciale à 22000 XPF, mais quand je regarde la facture, je vois. 3500 XPF. Donc bug ou non je ne sais pas. Il n’y avait pas de ticket de caisse avec la carte bancaire. Donc patiente pour vérifier le vrai montant, mais si c’est le cas, l’informatique de Air Tahiti a quelques soucis…

Le midi, calme, petit tournedos de thon rouge. Sur un table pas loin de la plage. Afin d’éviter un choc et/ou stress qui dérangerait la digestion.

Puis après-midi aussi travailleuse avec l’installation de la nouvelle borne WIFI ainsi que le déplacement de l’ancienne avec confection des embouts de câbles. Opération qui a duré très longtemps puisque l’ont s’est servi d’un ohmmètre afin de tester chaque petit câble (il y en a 8 dans dans un câble réseau standard) car la première tentative ne fonctionnait pas.

Après réparation et réinstallation, déception… A seulement 3 mètres de la table qui est sur la photo ci-dessus, le réseau ne fonctionne plus. Donc demain re-déplacement de la borne pour tester.

Deux informations importantes aujourd’hui:

  • Alain n’a pas fait de sieste! 15h debout sans faire de sieste! Rassurez-vous, au moment où j’écris ces lignes. Il dort.
  • Mon ami Lazare (l’homme qui sait tout faire au Fare Club et surtout la cuisine) a signé un contrat de travail qu’il espérait. Je suis très heureux pour lui. Mais ça va être tendu, partir à 4h du matin tous les jours en scooter pour aller jusqu’au ferry qui est de l’autre côté de Moorea et puis se rendre à Tahiti. En tous cas, félicitations à Lazare.

Et autre petit mot à l’encontre de mon ami René, fraichement opéré de son dos qui le faisait souffrir et surtout sa jambe à cause de la compression. Remets-toi vite sur pied, c’est le cas de le dire. Nous avons des rallyes, du pâté et du vin rouge à faire ensemble!

Bonne journée à tous, le soleil est déjà couché ici à Moorea et le dodo me tend les bras.

A demain pour des nouvelles aventures!

Journée joulies photos et Bob!

Alors paradoxalement, comme vous pouvez le lire en titre, des photos, beaucoup, mais tellement de photos que trop longues à télécharger sur mon ordinateur, donc difficile de partager aujourd’hui. Des photos panoramiques vraiment belles. Des plages et décors que l’on croirait modifiés avec photoshop.

Comme beaucoup de matin, ballade sur le lagon en kayak, cette fois-ci je suis tombé à l’eau, mais plus loin que d’habitude de la plage et pas facile de remonter sur un kayak de course sans appuis. Du coup, nage jusqu’à la plage en poussant le kayak.

Puis nous sommes parti à la grande aventure des billets d’avion pour Maupiti. Et ce fut embêtant car les disponibilités pour aller à Maupiti sont très encombrées. Il a fallut décaler le séjour à Maupiti. Nous irons donc entre le 24 et 27 Mars au petit paradis, ça finira les vacances en beauté. Et nous reposera, car stressant Moorea, stressant…

Sur le chemin du retour nous avons été invités à manger par Robert. Super Robert, un des premiers commando para français. Un jeune homme d’environ 80 ans qui vit de maisons en maisons en Polynésie en tant que gardien. Ce qui s’apparente à une vie de rêve! Il devait rester en Polynésie 2 ans pour découvrir, cela fait 12 ans qu’il y est.

Nous avons vite fait un crochet par le belvédère de Opunohu avec là aussi prises de vues magnifiques et surtout, le super pouvoir d’Alain a encore œuvré, il a improvisé une micro-sieste sur le banc du belvédère. Incroyable, Alain STT (Siestes Tous Terrains).

Bizarrement. Ce midi, la maha (nourriture en polynésien) n’était pas bon, le poisson cru à la chinoise bof bof et le veau bœuf bœuf euh… bof bof.

Et la journée à continuer avec ce niveau de stress intense que l’on connait à Moorea.

Ah si une photo vient d’arriver et quelle photo!

Comme cela, vous serez prévenu, il ne faut pas mettre d’enfant dans un bac en plastique! C’est dangereux! Mais du coup? Comme pourra-t-on faire pour le trafic d’organes? Va-t-il falloir les ouvrir et prélever avant de mettre le bébé dans le bac? Vraiment… On ne peut plus travailler tranquillement.

Aller, il est temps d’aller coincer la bulle. Alain est déjà quelques kilomètres en avance.

A bientôt pour de nouvelles aventures stressantes!

Jour de Geek

Bah oui aujourd’hui, ça été « infrastructure as code » toute la journée.

Mise à part ce matin où nous sommes allés voir Lazard et Marita qui étaient donc sur le bord de la route à vendre le veau fumé préparé toute la nuit. D’ailleurs en l’espace de 1h30, les 23 kilos ont été vendus!

Mais il avait aussi des gardiens pour les protéger:

Bijou de son petit nom. Dire que je l’ai connue le jour de son adoption:

Puis dans la matinée une petite pause ouverture de noix de coco sur le bord de la plage.

Et le soir repas tous ensemble avec en fond musical et visuel, l’hommage à Coco Hotahota, décédé hier à 79 ans. Il est le grand chorégraphe de danse tahitiennes. C’était sympa à voir et entendre.

Mais la curiosité du jour c’est surtout Alain. Qui a quand même eu la capacité presque surhumaine de faire 5 ou 6 siestes et pas 10 minutes à chaque fois… Et ce soir, que fait-il? Et bien il dort encore. C’est assez impressionnant! Il va vraiment se transformer en marmotte!

Aller demain, direction Air Tahiti car le site Internet ne fonctionne plus pour commander des billets.

A bientôt pour de nouvelles aventures.

Longue journée…

Mais une longue journée en Polynésie, c’est différent!

Réveil 4h45! Et Alain carrément 4h30 pour aller préparer le petit déjeuner avant de partir à la ville, car le ferry est à 6h15 et il faut 30 minutes de route pour y arriver.

Une fois arrivés à Papeete, nous donnons un colis à un américain qui l’avait oublié au Fare Club: « Oh are you Steven? – No, Fred! » . Je pensais que j’allais causé un peu avec lui, vu qu’il est informaticien, mais non… 15 secondes après, il déguerpissait.

Nous nous rendons au marché de Papeete pour prendre un café, et là, Alain, champion du monde, fait sa deuxième étourderie de la journée. Oui il y avait une première mais celle-ci est mieux:

Oui il a rajouté un peu de sucre, la sachet avec…

Après avoir erré dans Papeete pas encore bien éveillé, le magasin d’informatique ouvre ses portes.

  • Bonjour! J’aurais besoin d’un prise RJ45 pour sertir.
  • On n’en a pas…
  • Ah…
  • Des prises RJ45 mâles?
  • On n’en a pas…
  • Des prises RJ45 femelles?
  • On n’en a pas…
  • Un switch 5 ports?
  • On n’en a pas… On a 8 ports
  • Aller va pour 8 ports
  • 66€ s’il vous plaît
  • Pardon?! Je l’achète 15€ HT d’habitude!

Bienvenue en Polynésie. Et encore ce n’est rien comparé à la pince à sertir, 35€! Alors que j’ai eu la mienne il y a dix ans à 7€!

J’en ai profité pour discuter avec le vendeur, ce fut intéressant.

D’ailleurs toute la journée fut un enchainement de discussions, de situation marrantes. Que je ne vais pas les narrer une par une, ça sera trop long. Donc journée riche. Surtout pour les magasins…

Nous avons acheté ceci:

Et bien, c’est excellent! Vin de corail. Comme c’est écrit dessus, très moelleux.

Et le soir aussi longues discussions intéressantes avec nos hôtes et Alain qui a fait le spectacle psychanalyste , avec des cas concrets sur demande.

J’étais très très fatigué, j’ai donc pris congé de mes convives quand tout à coup! Un sursaut d’énergie. Chef cuisinier Lazard était sous un barnum en train de cuisiner. Je ne pus m’empêcher d’y jeter mon grain de sel ou plutôt l’œil et qu’elle ne fut pas ma surprise:

Il est en train de préparer du veau fumé à la sauce faite maison. Et tenez vous bien. Il a commencé à cuisiner à 22h. Et il va jusqu’à demain matin, tous les quarts d’heures badigeonner les morceaux de veau de sa sauce. Et après les couper en petits morceaux pour faire barquettes qu’il va aller vendre. Quel courage!

Et voici encore une belle journée qui se termine, on se sent tellement bien ici. Tout le monde est heureux et calme avec peu de choses. Loin des vicissitudes de l’actualité lointain de la métropole. C’est vraiment reposant. Et stimulant aussi car je continue à travailler sur mes geekeries et j’avance vraiment bien.

Une dernière photo pour la route?

Le Vinking Ragnar Alain qui arrive à bord de son drakkar 100% plastique et qui accoste sur la plage certainement avec une soif d’invasion et de barbarie (et peut-être d’amour pour Maeva) qui ont forgés sa légende à travers Entraigues et villages limitrophes. Mais cette fois-ci à Moorea. D’ailleurs, il lui a même échappé ce soir une petite phrase à l’attention de Lazard, « Quand je reviendrai dans 4 ~ 5 ans… » Ah?! Le Viking aurait-il succombé au petit paradis de Moorea?

Sur ce, il est temps d’aller… (oui j’ai la tête qui tombe toute seule devant mon écran) Petit signe indicateur que je suis batterie faible.

Bonne nuit/jour et à bientôt pour de nouvelles aventures!

Rando magique et geek

Réveil à l’aube pour s’attaque à un de mes endroits préféré à Moorea, la montagne magique. Une belle randonnée d’environ 1h pour accéder à un magnifique panorama.

7h du matin démarrage de l’ascension.

Enchainement de faux plats montants, pentes assez raides. Mais en grande majorité sur une piste bétonnée, pratiquée par les gros pickup Ford rallongés qui emmènent les touristes par dix.


C’est une fois arrivé au sommet que j’ai voulu me servir de mon téléphone pour appeler mes proches. Mais ce n’était sans compter sur le forfait data déjà épuisé en une petite semaine…

Mais quel spectacle que offre ce belvédère à chaque fois. Prochain objectif y retourner un soir pour le coucher de soleil qui se fait donc à l’ouest ce qui correspond normalement à peu près à l’arrière de la crête de la montagne à gauche de la photo.

En redescendant petite pause jus de fruit frais. Ananas, banane, feuille de menthe. Cela passe comme une lettre à la poste (pas en grève).

Le reste de la journée fut entièrement dédiée à la geekerie pour essayer d’avancer un maximum sur mes travaux d’infrastructures serveurs tout en automatisme. Et ça fait des nœuds au petit cerveau surchauffé car la journée fut chaude.

Alain continue à battre des records du nombre de siestes dans la journée, mais surtout, il a des objectifs! Ouvrir des noix de coco à la Polynésienne. Il a demandé à Lazard d’en descendre une dizaine pour s’entrainer.

Et lors du repas de ce soir en famille, on a abordé le sujet. Bientôt Alain s’appellera Temaru et aura le visage tatoué. Et le fait de vouloir ouvrir des noix de coco à la main est un exemple parfait de l’idée qui germe peu à peu dans son esprit. Et évidement, nous attendons tous avec impatience la rencontre avec Maeva. Mais où es-tu Maeva? L’amour d’un Viking converti en tahitien te tend les bras!

Autre conversation dont la décence m’interdit de publier le contenu sur le blog. Amena Tehani à me menacer de me frapper, donc forcément j’ai réclamé, mais apparemment, les sévices corporels, même pour un vilain garçon, est une pratique payante. Le sens du service se perd!

Demain matin réveil à 5h pour aller à la ville faire des achats et ramener un colis à un touriste tête en l’air qu’il l’a oublié au FareClub.

Bonne journée au métropolitain! A bientôt!

Comment dire…

Il y a des jours comme celui-ci, où tu te demandes, si c’est vraiment toi qui les a vécus ou c’est une procuration à l’inconnu?

Ce matin à l’aube, 5h30. Nous voici de nouveau à la plage au lever du soleil pour faire du kayak paisiblement, légère brise, calme, bonnes ondes etc… Un con qui tombe plusieurs fois du kayak rouge de course car vraiment je voulais maitriser. Et donc sous les rires d’un ami proche, j’arrive bon gré, mal gré à obtenir une légère assurance qui me permet de progresser dans la maîtrise de la F1 des kayak! 😀

Retour au FareClub où là encore, Lazard nous a préparer ce matin du Marava, autrement nommé du poisson lapin. Il avait des belles oreilles! Et surtout il était bon!

Puis nous avons pris la route pour aller faire quelques courses. Au retour, nous avons vaqué à nos occupations.

INSTANT GEEK: J’ai donc presque terminé de refaire mon dépôt ansible-linux avec des playbooks composés dès que possible de includes_tasks. Long et fastidieux!

Puis vers 16h nous embarquons avec Tama pour le « tour », nous arrivons sur un mutu (petite île) pour apprendre à décortiquer une noix de coco, une version différente de la première fois.

Une petite vue sur la plage du mutu sur lequel nous sommes restés

Petite extrait lors de l’atelier ouverture de coco:

Alain: Quand on regarde les trois points du fond de la noix de coco, on a l’impression de voir un paresseux.

Tama: En Polynésie, on dit que le fond de la noix de coco incarne celui qui le regarde.

Non non! Presque aucun rire n’a pu s’échapper suite à cette sortie, je presque promets!

Puis apprentissage du grattage à noix de coco, et là non, je ne peux pas vous publier la photo de moi avec mon engin à la main en train de gratter la noix de coco. Non! Pas possible 😀

Et nous sommes par la suite aller au point de rassemblement des raies et requin pour s’amuser avec eux, oui oui, les raies, nous avons joué avec, les requins, un peu moins, mais régulièrement, des petits bancs de requins à pointes noires, nageait à moins de de deux mètres de nous. Et malgré les croyances de la férocité des requins, le fait de bouger, ils avaient et prenaient leurs jambes à leur cou pour s’enfuir!

Après s’être bien amusé, nous sommes retournés sur le mutu pour cette fois-ci manger. Et là, l’extase!

Groum service de luxe!

Nous avons été obligés de manger sur la plage, du poulet, du uru (leur patate locale) et aussi la fameux, poisson cru au lait de coco. Alain n’aimait pas le poisson cru, mais ça, c’était avant… Et juste pour info, cette dernière photo de plage est donc une plage qui est utilisé pour faire les photos des calendriers des madames tahitiennes qui ne sont pas frileuses du tout et aussi, les films où les monsieurs et les madames se font des bisous tous nus! Et que après, le monsieur, il met son zizi dans la madame et qu’il y a quelqu’un qui filme tout cela!

Bon en l’occurence personne à part nos hôtes, mais quels hôtes, Heidi, suisse de par son Papa mais Polynésienne de naissance, qui a tout cuisiné de manière fabuleuse et Tehama, la soeur de Tama, qui a aussi participé au service et réalisation des cocktails, nous passerons sous silence, le nombre de cocktails…

Ce fut donc une journée merveillseuement belles, pleines de photos et vidéos que je vous montrerai à mon retour. Où nous avons ri tout au long de la journée. Nous voilà de retour au bungalow avec une légère instabilité de l’équilibre et mes quelques dernières forces réunies pour vous rédiger ces quelques lignes qui malheuresement font un pâle reflet de ce que nous avons vécu aujourd’hui, j’aimerai tellement pouvoir partager ces moments avec la plupart d’entres vous. J’espère un jour!

Sur ce, bonne nuit/jour, il est temps d’aller dodo car demain, encore de l’activité!

A bientôt pour de nouvelles aventures!

Il a fallu travailler!

Tout commença par une réveil matinal à 5h.

Direction la plage, pourquoi à cette heure-ci me direz-vous?

Comme certains le savent, afin de conserver mon physique de rêve entièrement fait de muscles, tel un acteur américain qui mange des pizzas et boit des bières. Je fais du rameur. Et donc, il était temps de mettre cela en pratique en faisant du kayak!

Tant quand c’est chez moi, le rameur est d’un ennui mortel. Hors là, dans le lagon de Moorea, le principe reste à peu près le même mais bizarrement, cela se fait avec le sourire!

Bon je dois avouer, que… Les premiers mètres avec le premier kayak, furent quelques peu difficile, voir même impossible, tellement je tremblais pour garder l’équilibre. J’avais fait l’erreur de prendre le kayak « de course », profilé pour la vitesse, donc quand on début, la vitesse, ce n’est pas la première prouesse que l’on effectue et donc, plouf dans l’eau.

J’ai donc repris de manière raisonnable le kayak de touriste. Alain quant à lui a eu le mérite de tenir sur le kayak de course! Il n’a pas fait plus de cent mètres dans l’aller-retour. Mais il n’est pas tomber. C’est son côté viking qui lui permet de tenir sur les flots quelque soit l’embarcation !

Une fois cette séance de rameur dans un cadre plein plus incitant à l’effort que mon rameur d’intérieur. Nous rentrons au FareClub vers 7h pour le petit déjeuner, et quel petit déjeuner!

Du bien nommé, Bec de canne. Que c’était! Merci encore à Lazard qui fait des miracles avec peut de choses, mais déjà quand on a les bons produits, cela aide.

En revanche, le reste de la journée n’a pas été du même acabit. Puisque la salle cuisine commune avec la tables s’est transformé en succursale de QuanticWare. La journée presque complète pour redonner vie au PC chancelant de Francis.

Ce fut très long et cela a pris toute le journée! Résultat, je suis fatigué (alors que non, informaticien, je ne fais que cliquer sur un ordinateur!) et j’ai déjà des absences tout en écrivant ce billet.

Alain lui continue à préparer sa réincarnation en chat en enchainant, manger, dodo, jour, manger, dodo, mais il est heureux, c’est le principal.

Sur ce mes amis, je vais de ce pas m’endormir de manière presque instantané comme j’ai l’habitude pour demain être prêt à retourner tester le kayak et peut-être faire une ballade.

A bientôt!

Jour de stress

C’est donc la première vraie journée à Moorea.

Donc premier petit déjeuner. Nous sommes les premiers debout donc on se débrouille avec les emplettes de la veille et là, ô surprise, quelque chose en Polynésie qu’ils ont et que nous n’avons pas:

Et oui, il y a une date limite pour les cons ! Quelle chance! Nous en métropole, nous ne savons jamais quand cela s’arrête. Nous passerons évidement sous silence la date prise sur la photo, un de mes lecteurs pourrait mal le prendre vu que c’est son anniversaire 😀

Après ce premier stress de la journée qu’est le petit déjeuner. Comme vous pouvez le voir, même le Kiko est atteint de stress dès le matin.

Nous (re)découvrons les plages et pontons de Tiahura (nom du village où se trouve le FareClub.

Puis chacun de son côté, à nos occupation, Alain le dessin de paysage et moi les geekeries.

====

INSTANT GEEK, attention si vous ne comprenez pas la suite, c’est normal:

J’ai donc décidé avec les conseil du Grand Mamadoo la refonte complète de mon git et son code, donc création d’une nouvelle branche, checkout. Première partie du rangement afin d’avoir un repo de ansible-tasks utilisables partout. Cela prend du temps

====

Et pour récupérer de cet effort, nous allons manger au snack le Mahana. 

Dos de Mahi Mahi (Dorade) pané au lait de coco pour moi et grillé pour Alain.

Evidement, c’est excellent!


Pour la digestion, baaah… Sieste, dans un cadre qui ne se prête pas du tout. Mais attention aux apparences, avant d’arriver à ce point, il a fallu sortir des trésors d’imagination afin de stabiliser le hamac, car une partie est déchiré. Vous comprenez comme je prends des risques!

Et après, longue après-midi de geekerie comme le matin. Nettoyage PC des hôtes, mises à jour du serveur etc. Mais dans ce cadre là, bizarrement, c’est fait avec le sourire! 

Puis le soir, nous assistons au coucher du soleil avec le bonheur de voir les toutous jouer avec une noix de coco et batifoler dans l’eau, c’est merveilleux. Et encore plus merveilleux, le balais de ces totalement idiotes de coqs et poules qui se chicotent pour dormir dans l’arbre avec vue sur l’océan.

En rentrant nous aidons Francis à réparer la machine et laver le linge. Nouvelle activité pour les touristes? Avec évidemment les termes techniques qui vont bien. Mets bien la vis dans fond etc. 

Le soir Louise nous sert un punch royal. Et pour sûr, royal, violent, mais royal. 50° l’engin! Et bizarrement cela passe tout seul! Même avec quelques gouttes de citron vert. 


Il est maintenant l’heure d’aller faire le dodo réparateur! Car oui la particularité de la journée c’est de voir aller et venir Alain avec ce style de réflexion: « je vais dormir là-bas pour voir si c’est mieux ». Après avoir donc fait 22h de vol, il tente les 22h de sieste!

Et demain un programme chargé nous attend. Enfin presque…

A bientôt!

Reviendu!

Enfin, après les traditionnelles 22h de vols que l’on peut presque prendre pour une punition. Notamment les 1h45 d’attentes au contrôle de San Francisco, un véritable calvaire par l’attente. Heureusement le contrôleur était sympa: « Français?! Ouais! Emmanuel Macrooooon! » .

Lors de la deuxime partie du voyage entre Paris et San Francisco, instant étrange. Mes voisines. Alors que je prenais une photo du hublot par lequel les derniers rayons du soleils pointaient. Je me suis aperçu que j’en ai pris plus que prévu:

Comme vous pouvez le constater, cela baye aux corneilles ! Mais le plus exceptionnel, c’est que ce soit l’une ou l’autre, les hostilités ont commencé avant même le décollage de l’appareil. Pour se réveiller que rapidement pour déjeuner et encore… Pour finalement se réveiller quelques minutes avant l’atterrissage. Imaginez pouvoir dormir plus de 12h d’affilés ou presque dans un avion. Incroyable mais vrai.

A la pause San Fransicaine je reçois un SMS de Louise: (Résumé) Inondations au FareClub, bloqués dans bungalows, on devra peut-être venir te chercher en bateau.

Excitant non?!

Les intempéries qui frappent Moorea sont assez exceptionnelles en intensité puisque l’équivalent d’1 mois et demi de période de pluie en une nuit et un jour.

Mais, nous arrivons tout de même à bon port, enfin, plutôt aéroport. On prend possession de la Tesla Sandero (oui c’est un nouveau modèle très économique…) et tergiverser pour trouver une place. Nous arrivons au marché de Papeete, mais le Lundi c’est service minimum, donc pas de petits morceaux de porc caramélisés. Une simple salade de fruits. Mais qui met déjà en joie les papilles.

Nous arrivons donc au noyé FareClub, la Tesla Sandero nage bien, et enfin nous retrouvons la famille Garnier et ses amis, grand moment de joie!

Après acquisition du bungalow, Alain et moi commençons la lutte contre le décalage horaire. Et que cela est difficile. Mais pour nous aider dans cette tâche, nous allons manger « A l’heure du Sud » chez Fred. Et voici de quoi redonner une bonne grosse dose de courage.

De l’espadon mi-cuit avec tout un ensemble de choses absolument infâmes tels que la mangue, un avocat et de la sauce pesto à l’huile d’olive, oh c’est fou cela me change de la maison… Mais comme vous pouvez vous en douter, c’était excellent.

Petite sieste digestive mais avec réveil pour éviter le piège de l’endormissement total. Car la lutte est toujours ardue. C’est une dure lutte! (voilà, c’est placé!). Et pour continuer à résister. Je vous écris mes amis, je fais un tour à la plage

Après ces quelques lignes vous vous dites, car beaucoup l’attendez avec impatiente. Qu’est-ce qu’Alain a pu faire?

Et bien il a été digne! Comme d’habitude. Ne pas aller dans le bon sens, chercher ses papiers souvent. Mais là où il est le plus fort. C’est l’Amour! Avec un grand A (attention aux liaisons foireuses et non dangereusement, vous voulez une preuve, la voici:

Très for Alain, très fort, dans sa pochette, il a accueilli le biberon. Il a donc déjà ce qu’il faut pour fonder sa famille te avoir des petit Poncel des îles.

A bientôt pour de nouvelles aventures, je vais me coucher, je n’en peux plus. Vivement demain

En continuant à utiliser le site, vous acceptez l’utilisation des cookies. Plus d’informations

Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.

Fermer