Ballade improvisée

En ce mardi, que pourrions-nous faire? Francis, peux-tu nous faire une visite de la route des Ananas? Oui, c’est parti! Nous n’allions pas regretter!

Après avoir déposé Harold au ferry, avant de se lancer dans cette traversée de Moorea, petit passage très important, par? L’usine de jus de fruits Rotui, et parfois, le jus de fruit, il est chauffé et vieilli en futs!

Nous avons eu le plaisir de visiter l’usine et découvert un alambic en en faire rêver plus d’un par sa taille.

La belle bouilloire

Après cet effort physique intense de au moins dix minutes, il nous fallait une petite pause. Ah tiens, en fasse de l’usine, il y a la boutique avec les dégustations de jus de fruits et? Des rhums! Youhou!

Une demi-heure de recherches scientifiques fondamentales et une bouteille de rhum arrangé de passion plus tard, nous voici en route vers les champs d’ananas de Moorea qui servent à la création des jus et rhum, mais il s’avère qu’il y a tellement de demande que 80% des ananas produits sont dédiés à l’usine Rotui et le reste aux petits commerces. La culture de l’ananas étant tellement précieuse qu’un article de loi a été créé en Polynésie pour que l’importation d’ananas d’autres pays soit interdite et la vente en grande surface interdite aussi afin de privilégier les commerces de proximités.

Pour en revenir à la traversée des champs, je vous envoie une petite vidéo de quelques secondes, mais ça va être long pour moi et court pour vous. A savoir que j’ai fait d’autres vidéos de 16 minutes et 24 minutes au même poste de filmage, avec toute l’intensité du pilotage de Francis, notamment la dernière partie, la montée vers le belvédère sous la pluie avec les virages en épingles et tous ces touristes qui nous dérange! Nous les locaux! Mais vous pourrez quand même apprécié l’effet d’immensité malgré que l’on soit au cœur d’une petite île. Au passage nous déplorons la déchirure de ma tong droite dans les virages serrés.

Après ce moment de sport, et oui, de sport puisse ma montre a considéré cela comme une séance de sport. Retour au FareClub pour repos du corps mais pas de l’estomac! Car le soir, nous avons testé sur conseil du « pharmacien » de Rotui: « Pensez à mélanger du vin rouge avec le rhum arrangé passion, ça fera un effet caramélisé ». Nous confirmons, nous confirmons même plusieurs fois cette effet caramélisé.

Encore une bonne et belle journée à l’autre bout du monde.

A bientôt

Vers Tahiti

Ça y est c’est le Grand Jour, nous partons pour Moorea, enfin.

Accompagné d’Alain. Et qui dit Alain, dit… Je vous laisse le choix des adjectifs.

Pour vous aider à trouver un adjectif: Ma mère m’appelle alors que nous étions dans le train pour me dire que la carte d’identité, la carte vitale, mutuelle et permis de conduire d’Alain, eux, sont restés jonchés sur le sol dans le jardin. Bravo! On applaudit avec toutes les mains disponibles.

Les transports dans Paris se font facilement.

Les enregistrements à l’aéroport se passent sans soucis. Bien qu’à un moment, une belle hôtesse d’accueil nous dit « Bon voyage Messieurs Dames », nous nous retournons d’étonnement, elle se met à rire, du coup j’enchaîne: « Excusez-moi Monsieur! » et elle me répond: « Oui désolée! Si je n’avais pas mon costume, je vous aurais fait un gros câlin » « Si vous voulez je peux rester 😀 ». Ça commence fort bien!

Nous arrivons au scanner des bagages. Hop! Contrôle aléatoire. Et sur qui ça tombe le contrôle aléatoire pour savoir si il a de la poudre explosive sur ses appareils, Alain! Forcément! Encore un bon moment à rire avec le contrôleur ceci dit.

Arrivée dans la zone d’embarquement, c’est le moment de faire les achats biscuits pour le voyage. Et je ne savais pas, mais j’ai acheté des biscuits plaqués or, incrustés de diamants! Car pour 2 boites, 1 sachet d’amende + 2 bouteille d’eau, 18€50. La caissière a dû le lire sur mon visage et a commencé à me dire qu’elle n’y étais pour rien.

Nous attendons l’avion, et attendre c’est la principale activité d’un aéroport.

L’avion est là et quoi qu’il arrive on se pose la question, comment ça va se passer pour les 10h40 de trajet, mais finalement bien! Enchaînement de divers films, à tel point que j’ai même regardé des films français! Des comédies.

Nous arrivons à San Francisco, avec comme objectif principal, non pas traverser et prendre l’avion suivant mais! Acheter un iPhone 14 à moindre prix. Mais tout d’abord les contrôles et force est de constater que l’administration américaine se « détend du string » ! Car il y vraiment beaucoup moins de contrôle qu’avant, et ce qui prenait avant presque 1h30, sur les 2h de temps de correspondances, se fait tranquille en 30 minutes et avec de la chance car nous avions les files d’attentes qui étaient raccourcis juste à notre passage!

Deuxième partie de voyage, et là, ça été un peu plus difficile avec la fatigue et les 8h de voyage, mais enfin, enfin! La terre promise, 5h du matin, le soleil était encore au lit, mais nous posons le pied sur le tarmac de l’aéroport et à l’inverse de l’accueil américain, l’accueil tahitien:

Et après contrôle, juste mettre le tampon sur passeport, nous sortons de l’aéroport !

Victoire !

A bientôt pour la suite de la première journée

Problème de Transit 1ère épisode

Ça y est le grand jour est arrivé! Départ pour la belle Polynésie.

Après des premières étapes composées du TGV, des RER parisiens ainsi que les passages de contrôles douane française tout se passe à peu près bien nous embarquons dans l’Airbus A350 direction San Francisco. 12h de vols sans soucis, regardé quelques films. Pour les intéressés du 7 eme art Taxi Driver, The Lost City of Z, Deepwater Horizon et Bad Times at El Royal Hotel. Nous arrivons donc à San Francisco, là pareil, passage des contrôles sans soucis j’ai même causé avec la policière sur les déclarations de colis. Et arrivé au « re-Check » tous les passagers de FrenchBee sont bloqués. Au bout de 10 minutes d’attentes qui ont parues pour certains comme l’apocalypse/armagedon  au point de se foutre délibérément de l’hôtesse qui ne faisait que son boulot tout en parlant un français impeccable, nous arrivons au re-check. Et là un Monsieur monte sur un promontoire et nous annonce: « La correspondance est annulée pour Papeete, un autre avion sera disponible demain matin à 9h, vous allez recevoir les consignes pour aller aux hôtels qui vous sont offert ». Imaginez ceux qui pensaient que 10 minutes bloqués à attendre c’est horrible dans quels états ils étaient. Donc forcément organiser le transit de plusieurs dizaines de passagers vers des hôtels aux alentours ce n’est pas facile. Et les râleurs qui se plaignent tout le temps. Même à me prendre à parti et qui ont pour seule réponse de ma part:  « c’est chouette on nous offre une nuit d’hôtel à San Francisco, on va pouvoir profiter d’une douche et d’un lit! ». 





A ce moment là il est 22h heure locale quand nous sommes tous en train d’attendre l’arrivée des shuttles (comme ils disent les gens là qui causent pas bien le français mais une langue bizarre avec des mots mâchouillés). Pour expliquer, nous sommes repartis dans plusieurs hôtels, des petits groupes se forment selon l’hôtel et arrive le premier shuttle! Youpi le notre! On vite pour aller faire dodo (oups je viens de marcher sur un cafard en direct, oui je vous l’explique plus tard pourquoi). Mais malheureusement le shuttle est trop petit et faut attendre le prochain, on nous indique que les rotations sont rapides. 22h30 toujours rien… Il ne reste plus que nous groupe de 10 à la sortie de l’aéroport et il se met à pleuvoir, l’hôtesse de FrenchBee appelle pour réclamer l’arrivée d’un mini-bus et sur ce fait, le tant attendu mini-bus arrive. Nous arrivons vers 22h45 au Crown Plazza hôtel airport. Et en arrivant un petit groupe de FrenchBee était là avec le visage déconfit, que se passe-t-il ? Tout simplement nous avons été emmené au mauvais hôtel car il existe plusieurs Crown Plaza hotel autour de l’aéroport… sauf que là plus de Shuttle… nous avons donc commandé un uber, qui nous amène au bon Crown Plaza, où nous obtenons le précieux sésame de la chambre d’hôtel offert et en arrivant dans la chambre, petit détail… La fête au bar en dessous avec les basses a fond et le bruit de la route que le double vitrage ne bloque pas et la pluie qui tombe fort, mais l’avantage, une bonne douche, un lit énorme, dodo presque instantané malgré les nuisances sonores. 



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